▬ Esfir Iseult Volturi « finish.

▬ Esfir Iseult Volturi « finish. 30wphft

ESFIR ISEULT VOLTURI

- AGE :302 ans, mais seulement 24 ans en apparence
- ORGINE : Anglaise
- GROUPE : Blood Sucker
- AVATAR : Kristen Bell

- YOU BROKE MY LEG .

« Comment décrire Esfir ? C'est une personne si complexe. Elle est à la fois mature et gamine. Adorable et sadique. C'est un paradoxe vivant. Elle peut se montrer mature, être à l'écoute des autre et leur répondre avec intelligence. Mais elle est plus généralement dans les nuages, et il faut savoir capter son attention pour espérer une écoute attentive. Elle n'est pas bête, loin de là : elle sait parler 12 langues différente, et faire des équations dignes des plus grand chimiste. Elle est aussi une as du piano, du violon et de la guitare, connait la 5e symphonie de Mozart par cœur, ainsi que Clair de Lune de Debussy. Mais elle on ne croirait pas comme ça. Au premier abord, elle à l'air d'une folle furieuse, qui n'est pas capable de formuler une phrase correctement. C'est surement parce qu'elle passe une bonne partie de son temps à parler toute seule ou au objet, à s'inventer des amis imaginaire, et de s'amuser comme une petite folle sur une chaise de bureau tournante. Elle est aussi très généreuse et solidaire avec ses amis. Elle ne pourra jamais laisser tomber quelqu'un qu'elle aime, pour rien au monde elle ne l'abandonnera. Mais elle a aussi de mauvais côté. C'est une enfant gâté, à qui il faut céder tous les caprices. Ces proches savent qu'il ne faut pas trop la mettre en colère, sous peine de blessures plus ou moins grave. Mais c'est en fait, une grande enfant qui à du mal à grandir. »

- A PIECE OF YOUR HEAD .

• Je fait parti du clan des Volturi, que je considère maintenant comme ma famille. Même si beaucoup me trouve bizarre, j'ai réussi en 300 ans de temps, à me faire une place parmi cette grande famille.

• C'est un secret pour personne : je suis une grande sadique ! Mon jeux préféré étant de faire souffrir les humains, je ne vous cache pas que je suis ~~un peu~~ folle. Ne vous étonnez pas si vous me trouvez en train de faire une grimace à un objet désobéissant, ou de parler toute seule.

• Je n'est jamais connu l'amour. Personne n'est venue me déclarer sa flamme, même pendant mon existence humaine. Les garçon sont pour moi plus des choses étrange et indescriptible.

•J'ai la mauvaise manie de touché sans arrêt mes cheveux quand je m'ennuie. Il faut aussi que mes mains soit toujours occupé, que je touche un truc, que je joue avec un stylo, etc ... Quand je suis nerveuse, j'ai des crise de rire. Ce qui me rend complètement idiote !

• Question vêtement, j'aime par dessus tout m'habiller comme je veux : il faut que mes vêtement soit agréable et léger. Si possible, qu'ils aillent avec mon teint, mais ce n'est pas obligatoire.

• Ma couleur préféré est le rouge, le noir et le blanc. Vous vous en foutez, mais bon !

- AN ANONYMOUS ?

- PSEUDO/PRENOM : Leahh* ; Léa
- AGE :14 printemps (aa)
- JOUEUR/JOUEUSE : Joueuse ^^
- PERSONNAGE : Inventé
- COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HD ? Sur PRD, et quand je l'ai vue, j'ai carrément flashé ! J'ai courut pour m'inscrire ^^
- CODE DU REGLEMENT :ok by ed
- UN AVIS : Hummm, le seule truc que je trouve pas super, c'est le fond blanc, là où il faut écrire. Je le mettrait plutôt marron (mais c'est que mon avis, alors maggle xD) Mais sinon, votre forum est tout simplement MAGNIFIQUE : j'adore
- EXEMPLE DE POSTE :
Spoiler:

- A PIECE OF YOUR LIFE .

« Un beau matin d'hiver, dans la petite ville de Glasgow, en Ecosse, naquit une petite fille. Elle fut nommée Esfir. Esfir Iseult Sorensen. C'est le 5 février, de l'an 707 que commença sa vie. »

ESFIR « Mèreeeeee ! »

Une jeune fille, blonde comme les blés, courait dans la vaste maison à la recherche de sa mère.

ESFIR « Mère ! Mère, où êtes vous ?, répéta t-elle »

Elle descendit un escalier recouvert d'un tapis somptueux, digne des plus grands châteaux. Ses longs cheveux bouclés volaient au vent, et ses petits pieds martelaient le marbre de l'escalier par de petits bruits régulier. Un grand silence régnait dans la maison, que seul les pas de la petite Esfir rompaient. Elle arriva dans la cuisine, où une bonne s'affairait pour le repas du soir. Elle passa devant elle en la saluant, e continua sa course effréné.

ESFIR « Mère, répondez moi !, insistait-elle »

Elle pénétra maintenant dans le premier salon, où se trouvait une incroyable mosaïque style romain. Elle représentait sa famille, la famille Sorensen. Elle était représentée avec son père et sa mère. Tout le monde était caricaturé, manque de précision de la part du support choisit. Un beau meuble en bois de cerisier, prenait toute la place du côté droit. La petite blonde grimpa sur une chaise qui se trouvait au milieu de la pièce, afin de pouvoir atteindre le haut de la bibliothèque. Elle attrapa une clé, qui donnait accès aux appartements privés de la famille. Elle ouvrit la porte au fond de la pièce, puis pénétra dans une salle sombre, où les rideaux empêchaient la lumière de passer par la petite fenêtre. Elle traversa ce corridor, et pénétra dans un autre salon, plus contemporain.

ESFIR « Mère !! »

Esfir entra dans la chambre de ses parents. Elle ouvrit encore une fois les rideaux, et s'approcha du lit, où une silhouette semblait dormir. La lumière pénétra dans l'immense chambre à coucher, dévoilant le corps inerte d'une jeune femme entre deux âges.

ESFIR « Maman ..., chuchota l'enfant, prise d'une peur soudaine. »

Elle s'approcha de sa génitrice, et lui effleura le bras. La mère ne bougea pas. La jeune fille avait beau la secouer, crier son nom, la serrer dans ses bras, la femme ne répondait pas. Alors, la petite fille comprit et se mit à pleurer. Elle pleura jusqu'à la nuit, à côté du corps de celle qu'elle avait tant aimé. Elle fut dérangée par son père, qui fut d'abord surpris de voir dormir sa femme aussi tôt. Puis, en voyant sa fille abattut, il comprit à son tour. Mais il resta fier, et alla chercher un médecin.

Le lendemain matin, un spécialiste vînt examiner la jeune femme. Il ne fut que confirmer l'évidence, elle était bel et bien morte. Mais la circonstance restait floue. Aucune effraction, aucune arme, ni flaque de sang. Ses seules blessures étaient une morsure près de la poitrine. Personne ne connut jamais vraiment la cause exacte de ce décès, et on oublia vite. Sauf Esfir, qui elle, n'était pas près d'oublier la vision du corps inerte de sa mère.

La vie de la jeune enfant, alors âgé de 9 ans, ne fut plus jamais pareil.
Son père n'avait jamais vraiment été proche de sa fille. Il ne la voyait que très rarement, quand il revenait de ses multiples voyages d'affaire et de commerce. Il ne restait pas plus d'une semaine par mois à la maison, et même pendant ce laps de temps, il ne s'occupait pas de sa fille. C'est pourquoi, quand il se retrouva seul pour l'élever, l'homme eut bien du mal. Il dût annuler des voyages, refuser des offres de ventes, tout ça pour sa fille. Elle devînt pour lui un boulet, plus qu'un bonheur continuel. C'est pour ça qu'il ne fut pas tendre avec elle, il fut même très dur à certain moment, allant jusqu'à la battre. Mais la jeune fille ne fut pas plus perturbée que ça. Elle vivait comme dans un monde parallèle, où tout était rose, tout était beau. Elle ne revînt à la réalité que quand son père se débarrassa d'elle. Le plus tôt possible, disait-il quand il avait trop bût, tu foutras les camps le plus tôt possible mon enfant ! C'est pour ça, que dès ses 16 ans, il promit sa fille à un vieux comte de la région. Il prit soin de sa femme, comme personne ne l'avait fait au par avant. Il lui passait ses moindres désirs, et elle fut considérée comme sa princesse, sa raison de vivre. Elle fut une enfant gâtée toute son adolescence, jusqu'à ses 24 ans. Certes son mari était d'une gentillesse sans limite, il en restait quand même qu'il avait 31 ans de plus que sa jeune épouse. Esfir aimait bien son nouveau mari, sa nouvelle vie. Sauf quand il voulait des moments plus intime comme il disait. Esfir considérait ce vieux bonhomme comme son père, et non comme son mari. Elle éprouvait pour lui qu'un amour fraternel. C'est pourquoi, elle était mal à l'aise quand il l'embrassait. Heureusement pour elle, il n'alla jamais plus loin.

« Alors que la jeune fille avançait dans l'allée sombre, un ombre traversa en un éclair. Esfir se figea. »

Esfir venait de quitter son mari. Elle allait rendre visite à son amie de toujours, Ludmila. Alors qu'elle avançait dans les rues de Glasgow, elle décida de virr à droite, pour prendre un raccourci qu'elle a découvert il y a peu. Elle pris ensuite à gauche, et déboucha vers une toute petite ruelle, très sombre. A chaque fois qu'elle prenait ce passage, la jeune femme avait froid dans le dos, tant il était lugubre. La ruelle ne faisait pas plus de 400 mètre, mais c'était à chaque fois l'endroit redouté où il fallait passer pour arriver chez son amie. Alors que la jeune fille avançait dans l'allée sombre, une ombre traversa en un éclair. Esfir se figea. Cette chose était passée trop vite pour être humain. Elle repassa une seconde fois. La jeune femme voulue crier, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle se mit à courir droit devant elle. Mais elle avait cette impression, comme dans beaucoup de ses rêves, de ne pas avancer. De se démener, mais de toujours rester à la même place. Alors qu'elle avait enfin avancé de quelque mètre, l'ombre s'arrêta près d'elle. Une silhouette ce profila dans l'obscurité. C'était un homme, entre deux âges, très pâle, avec des yeux rouges éclatant. Il avança vers Esfir, et la prit par le coup. Elle voulut crier, le frapper, ou même bouger, mais ce fut comme si elle était paralysée, ses membres ne réagissaient pas aux appelles des cerveaux. Alors que le jeune homme plantait ses dents dans la nuque, une femme apparue de l'autre bout de la ruelle. Esfir, à moitié évanouit, sentait son sang quitter son corps, petit à petit, gorgé par gorgé, mais malgré cela, elle reconnut son amie Ludmila. Elle s'approcha de plus en plus près de l'homme, et le terrassa de façon. L'homme n'eut pas l'air de se défendre. Ludmila gifla le vampire, et s'approcha petit à petit d'Esfir.

LUDMILA « Esfir ! Ma petite Esfir ! Ca va ? Non, je sais bien que ça ne vas pas ! Cet imbécile t'a presque vidé de ton sang ! T'es vraiment trop con ..., il n'y avait qu'elle que je ne voulais pas que tu touche, et tu le fait quand même !! Qu'elle idiote j'ai été en t'épousant ! »

Elle parlait apparemment à l'homme derrière elle. Esfir reconnu effectivement son mari, qu'elle avait croisé une fois au par avant. Encore toute sonné de son aventure, elle ne comprenait toujours pas ce qu'il se passait.

PETE « Je suis désolée Chéri, mais je ne pouvais pas savoir ! Il marqua une pause, et reprit tristement : Je suis désolée Mila, j'imagine que ce n'était pas le sort que tu voulais à ta meilleure amie. »
LUDMILA « Tout juste gros malin ! Je ne voulais pas qu'elle finisse comme ça. Elle s'arrêta et une sorte de sanglot sorti de sa bouche, mais aucune larme ne vint. Je ne voulais pas qu'elle devienne un vampire ! »

Après ces mots, une horrible douleur s'empara d'Esfir, et elle s'évanouit.

Elle se réveilla trois jours après. Ce fut un choc pour la jeune demoiselle. De un, sa meilleure amie était un vampire, elle avait plus de 1000 ans, et de deux, elle s'était à son tour transformé en vampire, suite à l'attaque de son mari. Depuis ce jour, elle a vécut avec eux, découvrant grâce à son pouvoir, que Pete, le mari de son amie, avait tué sa mère. Elle ne peut pas lui en vouloir vraiment, car il ne se connaissait pas, mais la jeune femme reste froide avec lui, ne pouvant lui accorder sa confiance. Jusqu'en 1995, elle accompagna ses amis partout en Europe, se faisant passé pour une autre famille à chaque fois. Mais elle en eut assez de cette vie de nomade, et décida de se poser. Elle partit en Italie, à Rome. C'est là qu'elle rencontra une bande de Volturi, venu explorer la ville. Ils lui proposèrent de se joindre à eux, et elle accepta avec plaisir. De retour à Volterra, Aro, Marcus et Caïus furent ravie de compter Esfir parmi eux, appréciant son don fort intéressant.