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 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »

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Eden H. Kyleigh

Eden H. Kyleigh

• Messages : 52

Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » Vide
MessageSujet: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 22:43



    Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » Icon%20100*100

    Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » Icon%20100*100
    © crédit

    EDEN HARMONIE KYLEIGH

    - AGE : 17 ans
    - ORGINE : Amériquaine
    - GROUPE :Humain
    - AVATAR : Taylor Swift









- A PIECE OF YOUR LIFE .









. Quatre septembre 1992. Une chambre d’hôpital, des cris. Une fenêtre ouverte qui laisse entrer la chaleur expirante du crépuscule, des rayons qui balaient une dernière fois le mur avant de se retirer derrière les flots du Pacifique. Et une toute jeune fillette, enveloppée dans des tissus moelleux. Eden Harmonie Taylor Kyleigh, telle fut baptisée la blonde enfant aux yeux bleus. Elle était mignonne comme un ange, elle ressemblait à une poupée. Un pur joyau que ce nouveau né. Dès sa naissance, elle fit la fierté de ses parents.
De sa mère, surtout. Elle se nommait Caroline, Caroline McLure du nom de son paternel, et sa fille tenait d’elle sa chevelure dorée, son iris bleutée. Fine, élégante, elle travaillait dans un cabinet d’avocat, mais abandonna la profession à la naissance de son seul et unique enfant. Sa manière d’être, la grâce de sa démarche, la mesure de ses gestes trahissaient son éducation religieuse et noble à la fois, dans une famille où l’on apprend le maintien et le raffinement, et toute sa vie durant, elle fut admirée pour ces qualités. Sa mère faisait partie de la haute société , cétait une femme mondaine qui cachait sa beauté naturelle en portant toujours un austère tailleur noir quand sa pétulante jeunesse se trouvait embelli par une jolie petite robe blanche, une robe de soie noire, tenues qui laissaient apparaître ses mollets au galbe sans pareille, aux courbes élégantes. Mais au-delà de sa beauté, c’était une étudiante puis une femme de droit rigoureuse et accomplie, le modèle même de wonderwoman des années soixante dix. A la fois élégante et intelligente, telle semblait être la devise qui la caractérisait le mieux. Elle fréquentait la crème de la crème du quartier le plus huppé de San Francisco et faisait pourtant preuve d’une simplicité déroutante. On l’admirait et on la désirait en même temps, et quel homme ne resta pas insensible au modeste battement de cils, à l’air tragique peint sur ce beau visage puis à ce sourire éclatant, éblouissant ? Ce fût sans doute une grande surprise quand on apprit que Caroline allait épouser l'un de ses clients , un délinquant qu'elle avait défendu lors d'un de ses nombreux procès , elle tomba éperdument amoureuse de lui . Un seul petit détails obscursissait cepedant ce beau tableau : du point de vue des parents de la jeune fille . Derreck n'était pas issue d'un bon parti contrairement au fils de l'associer du père de Caroline ...
Bref , en résumé les parents de la demoiselle n'était enchantés par cette union mais pour le bonheur de leur fille , ils ne s'y opposèrent pas bien qu'ils ne comprenaient pas le choix de leur fille ....
Il se nommait Derreck, et même s’il n’avait jamais rien commis d’illégal, la réputation de son père avait suffit à créer la sienne. Toutefois, derrière le caractère un peu flou de ses actes, c’était un homme charmant, plein d’assurance, courtois et agréable à voir. Il s’exprimait avec beaucoup d’aisance, son vocabulaire, sans être celui d’un éminent médecin, était recherché. Bien que n’ayant pas assez d’argent pour aller étudier dans une prestigieuse université, il travaillait dans une petite superette afin de s’offrir des cours du soir en matière de médecine.
Revenons quatre mois en arrière , Caroline était en pleine préparation du procès de Bill Andrews , le père de son ancien fiancé car en tant que jeune de bonne , elle se devait de fréquentait les jeunes gens de son rang ,mais n’éprouvait aucune envie de concrétiser la relation. Elle éprouvait des sentiments, mais c’était là les sentiments d’une jeune femme de vingt-sept ans, plus ceux d’une adolescente que d’une future épouse. Se sentant plus célibataire qu’autre chose, Caroline en vint même à considérer que le coup de foudre existait peut-être, mais qu’elle n’aurait jamais l’occasion d’en vivre un. Elle se trompait. Elle rencontra Derreck un froid matin de décembre il ne portait alors qu'un T-Shirt et un simple jeans troué, couvert de tâches , cela aurait du la répugnait mais au contraire , elle ne le fût pas le moins du monde . C’était lui le coup de foudre qu’elle avait tant espéré découvrir, c’était lui, tout simplement. De son côté, il n’en pensa pas moins, et la grâce de cette blonde créature, la pureté de ses yeux, le dévouement qu’elle mettait dans son plaidoyer eurent raison de son cœur.
Quelques mois plus tard , elle était devenu Madame Caroline Kyleigh . Abandonnait sa virginité pour un homme qu’on ne connaissait ni d’Eve ni d’Adam, un homme qui n’avait jamais rien fait de bien et qui n’avait même pas de quoi se payer un logement convenable. On murmura derrière des portes closes, et une rumeur circula de San Francisco à Atlanta. Selon les médisants, Derreck s’était chargé de séduire la belle et naïve Caroline pour son argent. Il n’y avait, dans cette relation, qu’un amour à sens unique, illusion que Madame Derreck Kyleigh était bien décidée à détromper.
Pour preuve , elle donna naissance moins de quatre mois après les noces à une petite fille . Ce fût une joie générale pour les voisins et les proches des deux jeunes parents . La petite fût batisée Eden
car, au-delà de sa signification catholique, c’était le prénom de la défunte mère de Caroline, et dans sa famille, il était courant de donner aux nouveau-nés les noms de leurs aïeuls. Et comme dit plus haut, dès sa naissance, Eden fut un ravissement pour les yeux, et une fierté pour ses parents. Sa mère surtout l’adorait, car elle lui ressemblait trait pour trait, et si en grandissant, elle s’orientait elle-aussi vers une brillante carrière, alors Caroline aurait prouvée à ses proches que son époux n’était ni un délinquant ni un criminel prêt à tout pour faire de sa fille une dévergondée. Pour Derreck, ce petit bout de choux blond était avant tout son sang et sa chair, et cela suffisait à son bonheur. Qu’importe que son père ne puisse profiter de sa petite-fille, l’idée même de fonder sa propre famille était excitante. Et à trente ans, les perspectives de créer son foyer sont bien nombreuses.
Avant la naissance d’Eden, le couple vivait dans un luxueux trois pièces donnant sur Golden Gates Park, à San Francisco. Relativement spacieux, il possédait deux énormes chambres donnant sur la rue et une décoration entièrement réalisée par le décorateur d’intérieur le plus en vue à l’époque, un certain John Edward. Toutefois, il devint rapidement évident qu’une seule chambre ne pourrait suffire à une ravissante enfant, en passe d’être, devenir quelqu’un, et les Hamilton rendirent donc, après quelques hésitations, les clés de leur luxueux Penthouse. Ils achetèrent une splendide maisonnette dans Pacific Heights, face à l’océan pacifique, avec tout le calme et la beauté dont on peut nécessairement rêver d’une banlieue chic californienne. Construite sur deux étages, de type colonial, son stuc blanc et ses larges fenêtres plurent tout de suite à Caroline, qui se chargea dès lors d’en faire un petit coin de paradis. Nourries de valeurs simples malgré sa situation, elle n’hésita pas à créer elle-même son jardin, reléguant toutefois son entretien à une horde de jardiniers spécialisés. Elle décida de la configuration des pièces, choisi avec soin l’ameublement de la chambre de sa fille. S’il l’avait fallu, la jeune femme aurait écumé tout le pays pour être sûre qu’Eden, le seul enfant qu’elle n’aurait jamais, puisse bénéficier de ce qu’il y avait de mieux. C’est ainsi qu’à seulement un an, la blonde fillette aux yeux bleus gouta aux joies du luxe, avant même de savoir marcher. Les étagères en bois précieux, le sol recouvert d’un épais tapis, le lit, large, douillet. Dessinée par ce même John Edward qui n’avait lésiné, ni sur la couleur rose ni sur l’aspect cosy des pièces, comme pour rassurer les heureux parents quand au confort de leur progéniture. Quand à Caroline, heureuse mère de la plus adorable des enfants qui soit, à la beauté pure et vraie, au regard d’ange et à la voix merveilleusement douce, elle avait, au même titre que son mari, trouvé enfin la vie dont elle avait toujours rêvée. Une jolie maison, un beau jardin qui descendait en pente douce vers la mer, un confort inégalé, un luxe omniprésent mais tellement modeste.
Cependant, il est évident que l’on peut se demander d’où venaient les rentrées d’argent si la brillante avocate laissait de côté sa profession. De ses rentes, tout d’abord, de son argent stocké quelque part sur un compte et qui lui offrait chaque mois plusieurs centaines de billets verts. De son époux, ensuite, qui, ayant enfin obtenu son diplôme de médecin, se préparait à débuter une brillante carrière. Fraîchement diplômé, Derreck et les autres étudiants de sa promotion devinrent, pour la plupart, internes au St Mary’s Medical Center. Neuf personnes, toutes droits sorties de grandes universités, en passe de devenir d’excellents praticiens.
Et pendant ce temps, la blonde fillette grandissait. Eden avait six ans, un visage charmant, un visage de poupée. Elle riait aux éclats et battait des mains quand sa mère jouait au piano, elle dansait avec grâce. Mignonne comme un ange. Jamais cette phase ne prit autant d’ampleur qu’avec l’enfant aux yeux bleus.
A San Francisco, la vie était la même, calme et posée, douce et continuellement identique. Le cocon dans lequel avait toujours vécu Eden ne devait jamais être amené à changer. Ou presque.
Une chambre d’hôpital, des pleurs. Une fenêtre fermée qui masque la brise froide et hivernale, un souffle givré qui s’abat sur la vitre. Et un homme en blouse blanche, un homme grand à la voix grave, un homme avec un badge et annonciateur de malheur. On avait confié la jeune Harmonie à son père, qui, vu les circonstances, s’était senti obligé de prendre une journée de congé. Peut-être qu’au premier abord, on songea qu’il ne faisait que souffler un peu, qu’il voulait profiter de sa fille. C’était peut-être vrai, oui. Mais finalement, qu’est ce qui l’était vraiment ? Où était la vérité ? Lorsque, un certain jeudi quatre septembre, Caroline Kyleigh franchit la porte de sa luxueuse maison de Pacific Heights, lorsqu’elle franchit celles de l’hôpital, lorsqu’elle distribua son sourire éblouissant au monde qui l’entourait, qui aurait pu se douter du destin tragique qui l’attendait ? Lorsqu’un praticien lui apprit qu’elle souffrait d’un cancer métastasé des ovaires, la réalité prit un tournant inattendu, et subitement, tout s’arrêta. On comprit pourquoi Eden était fille unique, sans frères ni soeurs. On comprit les fatigues, les coups de blues. Trois mois, un an. On hésitait quand à la durée de vie de Caroline, vieillit tout à coup. Quelques semaines plutôt, elle avait fêtée ses trente-neuf ans en riant, jamais elle n’avait parue aussi jeune. Aujourd’hui, c’était une quadragénaire comme toutes les autres, sans éclats derrière ses pupilles. La flamme qui animait jadis son regard s’était éteinte, balayée de ce vent glacé qui soufflait sur San Francisco, balayant toute trace de vie. Trois mois, un an. Quiconque aurait pu dire ce qu’il allait advenir de la jeune femme ? De sa famille ? Lorsqu’il apprit la nouvelle, Derreck Adams fut accablé. On attendait de lui une réaction d’homme, une réaction de médecin. Il voyait des gens mourir chaque jour, il travaillait avec un oncologue, il connaissait les cancers et leur rapidité plus ou moins définie. Mais quand ce fut au tour de sa femme, jamais, à aucun moment, il ne songea à son travail. Et peut-être que s’il n’y avait pas eu leur fille, peut-être que oui, il l’aurait accompagnée. Jusqu’au bout. Mais il ne le pouvait pas. Alors il se reprit. Deux mois plus tard, Caroline Kyleigh, née McLure, franchit les portes de sa luxueuse maison de Pacific Heights pour la dernière fois, et fut admise à l’hôpital le plus proche dans un état critique. Trois jours plus tard, elle décédait. Elle mourut par une froide journée d’automne, et le hasard voulut que ce soit le Saint-Jour des Morts. Pour Eden Harmonie Kyleigh, devenue orpheline, le deux octobre serait désormais marqué d’une croix noire.
Adieu rire, adieu enfance ! La jeune fille laissa son corps se vider de toutes ses larmes et s’abandonna sur son oreiller, se souvenant à grand-peine de sa mère et de sa dernière image. Qui avait été assez ignoble pour l’arracher ainsi à son foyer ? Les questions se bousculaient et ne trouvaient pas de réponse. Oh, elle n’était pas seule dans son chagrin – qui l’était vraiment ? Toute sa famille pleura, et son père s’abîma dans le travail, parce qu’il n’avait plus d’autre ressource. Les premiers temps, il confia Eden à une nourrice. Mais c’était une simple gouvernante. Qui ne remplacerait sa mère dans son cœur. Et jamais, plus qu’à ce moment, Eden ne souffrit autant. Le chagrin qui s’insuffla dans chaque fibre de son être la condamna à un mutisme désespéré, alors même que chacun tentait de lui dire de recouvrer pied. Mais, pour autant, la jeune fille n’en fit qu’à sa tête. Une fois encore. La vie ne lui semblait alors qu’un interminable fléau qu’il lui faudrait supporter jusqu’à la fin de sa misérable existence, au cours de laquelle se succéderait les échecs et les malheurs, et c’est ainsi que, peu à peu, elle se laissa aller, croyant que finalement, rien ne valait vraiment la peine d’être vécu. Sa mère avait toujours été pour elle une sorte d’ange, un être au-dessus de tout ; lorsqu’elle la perdit, Eden se laissa abattre. Elle pleura longuement, le jour et la nuit, se réveillant parfois pour laisser libre cours à ses larmes. Elle se blinda contre cette peine trop grande en se plongeant dans un mutisme si profond, si passionnel et si inextricable qu’on osa même pas essayer de l’en sortir. Sa volonté de vivre s’était éteinte en même temps que celle de sa mère, et la jeune fille, encore enfant et si peu adulte, si innocente et douce il y a quelques semaines encore, refusa la réalité. La reconnaître, c’était l’accepter, et cela était au-dessus de ses forces. Elle refusa de s’alimenter, à tel point qu’elle fut admise à l’hôpital, dans un état critique. On diagnostiqua un manque de sucre dans le sang. Quelques heures passées dans un grand lit blanc, de ce blanc si triste et si pur dans lequel tant de gens avaient finis leurs jours, et la jeune américaine rentra chez elle. Peu à peu, elle cessa de se noyer, mais seules les apparences comptaient alors pour elle. Sauver les apparences, faire croire que tout allait bien. Son mutisme continua, son refus de se soustraire à ce décès aussi.
Il y avait tant de mots, tant de phrases que la jeune adolescente aurait voulue revoir sa mère prononcer. Mais ce décès, trop abrupte, trop incompréhensible, trop difficile, trop dur, avait plongé Eden dans un chaos dont elle n’était toujours pas ressortie – et dont elle ne ressortirait probablement jamais. Un malheureux tourbillon des plaisirs, une course désespérée pour une victoire inconnue. « Tu es courageuse, ma chérie. Tout ira bien, tu verras. Ne pense jamais que tu es seule, je serais toujours avec toi. Tu as toujours été forte, mon ange, et tu vas l’être encore pour moi. Tout va bien se passer. Tu es la plus adorable et la plus brillante enfant qu’il n’ait jamais existé, ma chérie. Alors je veux que tu t’en sortes. ». Les dernières paroles prononcées sur le pas de la porte. La dernière image d’une mère affaiblie, triste et profondément malheureuse, mais qui en ses derniers instants de vie, a voulu faire le plus beau cadeau à ses filles – à sa fille : un peu de bonheur, avant le chagrin. Mais auprès d’Eden, ces quelques mots eurent l’effet inverse. La fuite et le silence étaient devenus son refuge. Son refuge, l’écriture. Des textes criants de vérité, criants de désespoir. « Adieu, Maman », « Who knows what could happen », des paroles déchirantes, des mots trop dures pour une enfant, trop durs pour un adulte. Des textes brûlants de tristesse, qui, finalement, empêchèrent ce qui semblait inévitable. Des textes qui, par-delà la force des choses, sauvèrent la jeune femme.Le pire, c’est que, dans tout ça, il n’y avait plus ni père pour la consoler, ni quelconque amie assez proche pour épancher ses larmes. Alors, n’ayant aucun autre moyen d’échapper à sa peine bien trop grande, Eden fit la seule qui lui parut sensée : elle imita son père. Petite déjà, elle était réputée pour être la première de la classe et être douée, intelligente. Elle savait lire à quatre ans, elle jouait de la guitare, du piano et du violon avec dextérité et talent à cinq ans, elle composait ses premiers morceaux à huit ans. C’était un virtuose de la musique qui maîtrisait Beethoven, Mozart, Bach, Chopin, et qui chantait dans la chorale de l’école, en solo, car sa voix était pure et intense. Elle était passionnée d’écriture et de littérature, écrivait bons nombre de romans et de nouvelles à l’aube de ses neuf ans, et déclarait à dix ans que son auteur favori était sans doute le dramaturge Shakespeare, suivi d’Hemingway et d’Agata Christie.Elle devint ce qu’elle pensait que sa mère aurait voulu qu’elle soit : la meilleure. Elle n’avait que dix ans lorsque Caroline était décédée, et la première année qui succéda à cette disparition, les notes d'Eden furent catastrophiques ; elle ne voyait pas l’intérêt de travailler, elle ne comprenait rien à tout ça, cette disparition, ce cancer, toutes ces choses, explicables, inexplicables, logiques et illogiques. Alors, lorsque son père, dans un éclair de lucidité, lui fit remarquer ce qu’elle était en train de devenir, elle se reprit. Et pour sa première année de collège, elle se révéla être talentueuse au possible. Bien que n’ayant que onze ans, elle parlait plus ou moins couramment le français et avait des notions d’espagnol ; au collège, la jeune américaine décida donc de prendre, en plus des heures d’espagnol obligatoires, option français et chinois. Ces deux langues avaient pour elle des valeurs incontestées : Caroline n’était-elle pas française de par sa mère ? Quand au chinois, il paraissait que c’était la langue la plus parlée au monde. Pour Harmonie il était impensable qu’elle ne sache pas la parler. C’est ainsi que l’année suivante, elle était devenue parfaitement trilingue (anglais, espagnol, français), et recevait les félicitations de ses professeurs. On croyait qu’elle avait réussi à surmonter le deuil, il n’y avait qu’à voir ses résultats brillants. A la vérité, il n’en était rien. La jeune fille haïssait les cours, détestait apprendre. Au naturel, elle était douée, mais cette-fois ci, elle se forçait à être la meilleure. Alors, forcément, tout cela ne dura qu’un temps. Peut-être est-il important de parler un peu de Derreck Kyleigh, le célèbre neurologue devenu veuf, sans y comprendre grand-chose, lui non plus. Il est inutile de dire qu’à la mort de Caroline, il fût anéanti , il avait des airs glacial et un mine tragique ...
Pour l’anniversaire de ses douze ans, deux ans après la mort de Caroline, elle reçut l’appareil photographique argentique de cette dernière, et la jeune fille se découvrit peu à peu une nouvelle passion. Au début, ses clichés n’avaient rien de très prometteur : c’était des photos de débutants, flous, mal cadrées, dont le sujet principal était à demi caché, parfois inintéressant parce que trop basique, trop classique. Mais les semaines passant, Eden s’entraîna ; elle avait une volonté de fer, ce genre de volonté dont on naît avec mais qui ne se révèle que dans les situations de crises, et elle voulait vraiment, au plus profond d’elle-même, devenir cette photographe brillante qu’était sa mère. C’est ainsi qu’elle commença à prendre en photos tout ce qu’elle trouvait, de la moindre scène familiale aux images touchantes et simples d’un enfant jouant, innocemment, dans Presidio, d’un paysage à la beauté touchante. Elle prit également en photo sa meilleure amie, Bealow Osweeld Cooper, qui, à plusieurs reprises, dut jouer les mannequins pour le bon vouloir d'Eden . Pour une fois la jeune fille y prenait réelement du plaisir et lentement mais sûrement , la disparition de sa mère commençait à s'estomper dans son esprit .
Dans Pacific Heights, Alamo Square et Nob Hill, les fêtes étaient toujours très fréquentes, et il ne se passait pas une soirée sans que l’adolescente ne soit invitée à un anniversaire, une rêve-party, une soirée au cinéma, au bowling. Elle passait tout ses week-ends à aller faire du shopping sur Embarcadero Center, Mission Street, ou encore North Beach shopping, à fréquenter Barney’s et Saks, mais dès lors que Derreck décida de partir pour Forks . Tout les rêves d'avenirs que nourrissait la jeune fille se trouvaient anéantis en quelques instants ... Car oui, Eden était promise à un grand avenir. On la voyait déjà juriste, avocate, médecin ! Que de possibilités pour cette petite bourgeoise et son cœur en or ! D'un autre côté la grande passion de la jeune fille était la photographie , de même que la musique qui occupé une grande partie de son temps .
C'est dans cet interêt que l'adolescente suivit son père dans cette petite bourgade paumée dans la pénisule d'olympique .







- YOU BROKE MY LEG .


Décrire le caractère d'Eden ? Cela semble presqu’impossible. Il est vrai, que relater dans les moindres détails le tempérament d’une personne peut s’avérer bien difficile, particulièrement dans le cas de la jeune femme. Pour commencer, la jeune femme est plutôt du genre cool et sympathique. Etant issue du milieu bourgeois, elle n’a pas l’habitude de se prendre la tête pour quelques petits problèmes qu’elle considère sans importance. De son éducation elle tient sa prestance, sa force de caractère, son impassibilité et son endurance toute particulière. Toutefois, et malgré tout ce qu’on pourra dire, la jeune américaine est d’une grande sensibilité – même si la plupart du temps, elle le cache. Guère timide, elle est spontanée, extrovertie – populaire. On pourrait également la dire vive, gaie et énergique, mais sombre, triste et froide en même temps. Elle est assez sociable, et place l’amitié à un rang plus important que l’amour, sans doute parce qu’elle n’a pas eu l’occasion de vivre un véritable coup de foudre. Elle déteste qu’on lui dicte sa conduite et ne supporte pas de se plier à un ordre, quel qu’il soit. C’est en partie pour ça qu’elle s’est retrouvée ici. Du fait qu’elle a rarement tort, elle têtue, un brin obstinée, et n’a pas l’habitude de reconnaître ses erreurs. Son orgueil et sa vanité sont parfois plus fort que son bon sens, mais en grandissant, elle apprend à reléguer son ego au second plan pour ne pas se retrouver plongé dans des situations fortes embarrassantes. Plutôt agréable à vivre, elle est très féministe et pleine de féminité. Elle aime à être soignée, pomponnée, en un mot, ravissante. Néanmoins, la personnalité d'Eden ne serait pas complète si l’on ne parlait pas de sa mère. Sa disparition tragique offrit à sa fille une force de caractère peu commune, mais aussi une étrange sensibilité. Ces deux caractéristiques, l’une étant l’exact opposé de l’autre, suffisent à faire d'Eden une personne merveilleuse, aussi compliquée que touchante. Elle doit à cela un cynisme parfois effroyable, et un sens de la répartie qui impressionne. Pourtant, la jeune femme blesse parfois les gens, leur parlante de manière ironique, blessante et méprisante. Ce trait de caractère-là n’est pas celui qui la caractérise le mieux, mais il fait partie intégrante d’elle-même, et bien qu’elle soit plutôt généreuse et à-même d’aider les autres, son côté peste la rattrape parfois. Toutefois, la jeune américaine est tout de même persévérante. A la vérité, Eden est pourtant fragile – mais qui pourrait s’en douter ? Pour chaque personne qu’elle rencontre, la jeune américaine est donc un modèle d’élégance, d’intelligence, de vivacité – par exemple, ce sens de la répartie hors du commun qui ne la quitte jamais, ce cynisme presque foudroyant mais si perspicace et puis aussi cette manière de savoir se montrer naturelle et adorable. Elle a pour coutume de songer d'abord aux autres, car, malgré les apparences, Eden n’est ni égoïste, ni égocentrique, dans la mesure du possible toutefois.

- A PIECE OF YOUR HEAD .



    • HER ( CARACTERE GENERAL )


Décrire le caractère d'Eden ? Cela semble presqu’impossible. Il est vrai, que relater dans les moindres détails le tempérament d’une personne peut s’avérer bien difficile, particulièrement dans le cas de la jeune femme. Pour commencer, la jeune femme est plutôt du genre cool et sympathique. Etant issue du milieu bourgeois, elle n’a pas l’habitude de se prendre la tête pour quelques petits problèmes qu’elle considère sans importance. De son éducation elle tient sa prestance, sa force de caractère, son impassibilité et son endurance toute particulière. Toutefois, et malgré tout ce qu’on pourra dire, la jeune américaine est d’une grande sensibilité – même si la plupart du temps, elle le cache. Guère timide, elle est spontanée, extrovertie – populaire. On pourrait également la dire vive, gaie et énergique, mais sombre, triste et froide en même temps. Elle est assez sociable, et place l’amitié à un rang plus important que l’amour, sans doute parce qu’elle n’a pas eu l’occasion de vivre un véritable coup de foudre. Elle déteste qu’on lui dicte sa conduite et ne supporte pas de se plier à un ordre, quel qu’il soit. C’est en partie pour ça qu’elle s’est retrouvée ici. Du fait qu’elle a rarement tort, elle têtue, un brin obstinée, et n’a pas l’habitude de reconnaître ses erreurs. Son orgueil et sa vanité sont parfois plus fort que son bon sens, mais en grandissant, elle apprend à reléguer son ego au second plan pour ne pas se retrouver plongé dans des situations fortes embarrassantes. Plutôt agréable à vivre, elle est très féministe et pleine de féminité. Elle aime à être soignée, pomponnée, en un mot, ravissante. Néanmoins, la personnalité d'Eden ne serait pas complète si l’on ne parlait pas de sa mère. Sa disparition tragique offrit à sa fille une force de caractère peu commune, mais aussi une étrange sensibilité. Ces deux caractéristiques, l’une étant l’exact opposé de l’autre, suffisent à faire d'Eden une personne merveilleuse, aussi compliquée que touchante. Elle doit à cela un cynisme parfois effroyable, et un sens de la répartie qui impressionne. Pourtant, la jeune femme blesse parfois les gens, leur parlante de manière ironique, blessante et méprisante. Ce trait de caractère-là n’est pas celui qui la caractérise le mieux, mais il fait partie intégrante d’elle-même, et bien qu’elle soit plutôt généreuse et à-même d’aider les autres, son côté peste la rattrape parfois. Toutefois, la jeune américaine est tout de même persévérante. A la vérité, Eden est pourtant fragile – mais qui pourrait s’en douter ? Pour chaque personne qu’elle rencontre, la jeune américaine est donc un modèle d’élégance, d’intelligence, de vivacité – par exemple, ce sens de la répartie hors du commun qui ne la quitte jamais, ce cynisme presque foudroyant mais si perspicace et puis aussi cette manière de savoir se montrer naturelle et adorable. Elle a pour coutume de songer d'abord aux autres, car, malgré les apparences, Eden n’est ni égoïste, ni égocentrique, dans la mesure du possible toutefois.


  • EDEN AND HER FRIENDS OR THE OTHERS


Taquine & Bornée : Quand la jeune américaine aura pris ses aises avec vous elle vous dévoilera peu à peu son caractère . Elle a un grand sens de l'humour et n'hésitera à vous taquiné pour faire redescendre la tension . Elle n'aime pas voir des gens malheureux qu'elle les conaissent ou non , elle se montrera attentive et compréhensive pour vous redonner le sourire et vous faire sortir de votre amphatie .

Romantique & Passionée : Souvent on la considère comme une seconde Aphrodite à cause de ses longs cheveux blonds-dorée qui tombe en cascade sur ses épaules et bien sûr à cause de ses beaux yeux qui abritent une certaine chaleur ... Elle est elle representation du romantisme et de la passion . Vous l'aurez compris , elle n'est pas pour les relations d'un soir et une fois qu'elle aura trouver l'élu de son coeur , elle ne le laissera pas filer facilement . Elle est un peu vieux jeu ,elle croit aux coups de foudre et à l'amour au premier regard .

Loyale & Respectueux : Voilà la plus grande qualité d'Eden , selon elle cette qualité tout le monde devrait la posséder ... Pour elle , l'amour se manisfeste principalement par le respect et la loyauté . Les personnes volontairement mesquine font naître en elle un profond dêgout mais malheurement elle les comprend car personne n'est parfait et certaine personne éprouve le besoin de blesser les autres pour se faire remarquer .

Serieuse & Introvertie : Pour Eden le travaille passe avant tout car elle sait ce qu'elle veut faire de sa vie et elle est prête à tout pour y arriver ... Eden aime s'amuser et être entourée de ses amis car sans eux , elle n'est rien si ce n'est un champs de ruine .


  • SHE HATES ...


    Eden n'est pas parfaite , elle a peur d'un tas de choses mais ce qui l'effraie le plus se sont les araignées petites ou grosses elle hurle dans tout les cas . Elle va même jusqu'à pleurer et à en devenir folle .



  • MANIE :

Eden n'a qu'une seule véritable manie notable celui d'enrouler une de ses mèches blondes autour de tout se qui traîne , le plus souvent autour d'un styloo ou un de ses doigts .




- AN ANONYMOUS ?






- PSEUDO/PRENOM : Iris x)
- AGE : J'sais po Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 719264
- JOUEUR/JOUEUSE : Joueuse
- PERSONNAGE : (inventé ou predef) Inventé
- COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HD ? Forum de Pub
- CODE DU REGLEMENT : ok by edward
- UN AVIS : Magnifique Dessign'
- EXEMPLE DE POSTE :

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Dernière édition par Eden H. Kyleigh le Ven 22 Jan - 23:13, édité 22 fois
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 22:54

    Bienvenue parmis nous et merci de ton inscription What a Face
    Je vois que tu as un petit soucis avec ta fiche, vérifie dans ton profil que tu as bien activé le Html, et qu'il n'est pas desactivé dans tes postes. Si tu as la moindre question, le staff est là pour y répondre (:
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 23:24

Je sais que j'ai un soucis avec ma fiche xDDD
Par contre , dans mon profil le Htlm est bien activé ...
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Edward M. Cullen

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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 23:30

    J'ai réglé le soucis (:
    et j'ai validé le code du réglement au passage Embarassed
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 23:36

Okay =)
Merci !
Je vais essayer de finir ma prez'
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Edward M. Cullen

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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 23:47

    ta présentation rebug, je la modifirai quand tu l'auras terminé (:
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 23:48

Bienvenue parmi nous !!!! Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 23:53

Merci Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 163733


Dernière édition par Eden H. Kyleigh le Mar 19 Jan - 23:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMar 19 Jan - 23:58

Isabella M. Swan a écrit:
Bienvenue parmi nous !!!! Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959
Une humaine avec Taylor Swift Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 930145 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 930145 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 930145 Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 930145 Je peux que t'aimer Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 737516
Bien résumée, sauf le coup de l'humaine x)
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 0:05

xDD !
Merci quand même Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » Herz
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 0:15

    Je suis une Volturi, pour moi tu n'es que de la nourrriture, un Hot Dog sur patte, mouahahaha ! *ZBAF*

    Bon j'arrête le flood Arrow
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 0:28

Je penses finir demain =)
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 0:36

    Aucun soucis Guitare
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 1:00

    Bienvenue sur le forum !!! Singer
    Bon courage pour ta fiche !! xD
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 10:42

Bon courage pour ta fiche et bienvenue!
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 13:52


    BIENVENUE && bonne chance pour la fin de ta présentation (:

    J'ai un petit truc à dire dessus : tout comme Lysiane ton texte semble avoir été copié-collé (d'où l'aspect carrément chaotique du texte). Je ne peux pas vérifier mais j'espère qu'il s'agir bien d'un personnage à toi que tu aimerai rejouer sur ce forum. Néanmoins je te demanderai de mettre tout ca en ordre (je parle juste du texte, pas des codes) ainsi que de mettre ton texte en justifié ([*justify][/justify]). Merci (:
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 22:22

Pas de problème !
Eh , je confirme ce personnage est bien le mien Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 692363
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyMer 20 Jan - 23:55

Ta présentation est vraiment pas mal !!!
Mais car il y a toujours un mais ( Arrow ) dans la fiche de présentation il n'y a pas de description physique vu que nous trouvons que celle-ci est inutile (on sait très bien à quoi ressemble notre personnage et les vava sont là *out*) donc la partie :

- YOU BROKE MY LEG : est l'endroit où tu dois écrire le caractère de ton personnage

Alors que la partie

- A PIECE OF YOUR HEAD . est l'endroit dans lequel tu dois résumer en quelque sorte ton personnage en quelque mots
The Allowance a écrit:
Ecrivez ci-dessous, ce que vous voulez. Vous pouvez ne pas développer et seulement faire une liste de caractéristiques (traits de caractères, goûts, amis...) comme vous pouvez mieux organiser cette section en catégories, et rédiger quelques phrases explicatives sur chaque point. (phobie, manie, tic ou encore peur .. Donne-nous cinq caractéristiques te concernant en passant par l'accro aux vernis rouge ou bien au gars totalement geek n'arrivant pas à s'assumer. Tes petits secrets seront alors dévoilés au grand jour .. laisse donc parler ton imagination débordante)

Après toutes ces petites modifications on pourra te valider Lover
ps : préviens moi quand ta fiche sera finie pour que je remette les codes en place Wink
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptyVen 22 Jan - 23:16

Euh ... je crois que c'est bon !
Si il y a encore un probleme dit le moi .
Autrement j'ai fini ^.^
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » EmptySam 23 Jan - 1:04

    Personnage bien définis, pas trop de fautes, tu es validé !
    J'éspère que tu te plairas parmis nous Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » 70959
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MessageSujet: Re: Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. »   Eden H. Kyleigh « Try again, sweetheart. » Empty

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