- AGE : 540 printemps soufflés - ORIGINE : Italienne de pure souche, née à Florence, capitale de la Toscane. - GROUPE : Vampire végétarien - AVATAR :Elisabeth Harnois
- AN ANONYMOUS ?
- PSEUDO/PRENOM : Sylvie - AGE : 18 ans - JOUEUR/JOUEUSE : Joueuse - PERSONNAGE : Inventé - COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HD ? By TBS (devinez qui c'est!? ) - CODE DU REGLEMENT : » Il est interdit de se curer le nez sur le forum *sbaff* - UN AVIS : Joli forum! - EXEMPLE DE POSTE :
Spoiler:
Après que le ciel ait été atteint du crépuscule d’un jour finissant et que les derniers fuseaux solaires renvoient leur lumière dorée sur la capitale d’Angleterre, une foule de gens grouilla dans les étroites rues qui longeaient le bâtiment dans lequel, depuis des lustres maintenant, se tapissait la politique des sorciers, en outre, le ministère de la magie. Les paroles de ce semblant de personnes normales se noyèrent dans les invraisemblables bruits chaotiques produits par les voitures. Ces vieux modèles qui firent vrombir férocement leur moteur à quelques pas des passants. Quel brouhaha ! Les minutes s’effilèrent doucement, au rythme d’un vieux sablier. L’horloge de Londres devait sonner 18h30 maintenant, et loin d’être aux heures de fermeture, il n’y avait pourtant pas grand monde dans le hall noirâtre du bâtiment. Quelques groupes de sorciers chuchotaient entre eux, mais c’est tout. Tous aussi banals que les autres, enveloppés dans leur longues robes de sorciers foncés, aucun ne se détachaient des autres. Quel manque de goût, une vie perpétuellement unicolore au sein de ces lieux foulés par la magie ancestrale des temps anciens. Enfin, l’un d’entre eux pouvait encore attirer notre œil curieux. Rectification…une ! Avec une pareille chevelure dorée à l’éclat du soleil brûlant, suivit de cette démarche élégante et fougueuse, ajouté à ça la jeunesse de cette sorcière, il y avait de quoi la repérer à des mètres à la ronde. Mais que faisait donc Meredith au ministère ? Jeune sorcière à peine sortie de Poudlard, encore dans la fleur de l’âge ? Good question ! Vêtue d’un jeans bleu foncé et d’un gilet rouge écarlate, mademoiselle se démarquait des robes de sorciers peu commodes. Quel horreur ces robes !
L’ancienne Serpentarde avait un large sourire plaqué sur son visage, les yeux rivés sur un livret de feuilles administratives qu’elle tenait entre ses mains graciles. Admise haut la main ! Quel bonheur, quelle plaisir exquis ! Meredith avait passé des examens pour devenir auror deux semaines après sa petite rencontre hasardeuse avec le professeur Mcgonagall, et il faut avouer qu’elle avait réussi avec brillance les tests. Bon, elle avait peut-être reçu quelques piques sur sa ‘seconde nature’, mais qu’y voulez vous ? Rien n’est parfait dans la vie…même si notre jolie blonde aimerait que ça soit le cas. Elle sentit les regards inquisiteurs d’un petit groupe de sorciers d’âge murs sur elle. Ce picotement horripilant qui grésillait sur sa nuque lui fit pivoter la tête dans leur direction. Ses prunelles de braise fixèrent avec une froideur à glacé le sang ces messieurs qui tournèrent immédiatement la tête, confus de s’être fait prendre la main dans le sac. En même temps, il fallait être un profond idiot pour ne pas sentir cette désagréable sensation d’être scruté. Lady de Caminel reprit sa marche dans ce hall interminable…de dieu ne finirait-il jamais ? Ses prunelles semblèrent avoir repris un éclat plus doucereux, mais la couleur rougeoyante de ceux-ci brûlaient toujours autant au milieu de ce visage blafard, presque translucide. Les ignorants de sa ‘nature’ lui avait déjà posé incessamment cette question agaçante ; ‘Es-tu malade’ ou encore ‘Vous allez bien ?’. Quel plaisir de voir leur visage se déformer soit par la surprise, soit par la frayeur après qu’elle leur ait gentiment informé de sa nature vampirique. C’est toujours quelques secondes d’amusements pour la buveuse de sang qui adorait voir ce changement subit d’expression. La tornade blonde aperçut la fin du hall, et deux sorties possibles qui la mènerait vers le secrétariat où cette vieille chouette de Médusa régnait. S’était d’ailleurs elle qui s’occupait aussi de donner les fioles de sang pour vampires, afin que ceux-ci n’utilisent les humains comme repas. Beurk ! Meredith se contentait du sang animal, s’était déjà un énorme effort ! A la vue de la mégère aux yeux sournois, elle se retint de lui tirer la langue. Bon, peu mature vous direz vous, mais ça la ferait sûrement réagir ! Arrivée près du comptoir, la jeune fille glissa soigneusement ses yeux rubis sur la vieille brunette, le visage renfermé.
« Mademoiseeellle De Caminel, que puis-je pour vous ? »
*Démissioner, sale chouette !*
« Alfonse m’a demandé de vous amener ces documents pour que vous les signer, madameee »
De un, Alfonse était un entraîneur d’auror, de deux, le madame était un mot que Medusa détestait. Un rictus braqua la commissure de ses lèvres ridées. Elle observa la jeune sorcière de ses orbites effrayantes avant d’émettre un ‘humpf’ et d’arracher avec une violence farouche les feuilles de la main de l’innocente enfant. Enfin, innocente était un bien grand mot.
« J’en aurai pour 5 minutes, merci de patienter… »
Mouai, 5 minutes s’était pas la mort…quoique, avec la secrétaire comme compagnie, il y avait de quoi avoir des doutes. Préférant ne pas avoir le visage déformé de Médusa dans son champ de vision, Meredith se tourna aussi vite que l’éclair…un peu trop vite d’ailleurs. Elle rencontra un obstacle derrière elle qu’elle percuta sans douceur. BOUM ! La pauvre sorcière retomba au sol, atterrissant sur ses fesses après avoir balancé une flopée de mots tout aussi poli les uns que les autres. Ouch ! Nom d’une méduse, qui est le con qui s’est placé derrière ? Un rire sonore se fit entendre, et il ne fallait pas être expert pour reconnaître le timbre aigre de ce rire frissonnant. Elle allait égorger cette secrétaire un jour ou l’autre ! Bref, revenons à nos moutons…où en était-elle ? Ah oui, rabrouer celui qui l’avait fait tomber, super idée ! Meredith se releva prestement, pivota vers la personne concernée, prêt à lui balancer tout ce qui lui passait par la tête. Argh ! Changement de plan !!!!!! Clouée de surprise, le bouche ouverte comme une conne, Meredith faisait face un ancien professeur adoré de Poudlard, assez impressionnant dans ses tourbillons de robes noires. Oops…que dire ? Que faire ? Le rabrouer ? Jamais, it’s impossible !
« Euh…..bonjour professeur…désolé….je vous avait pas vu… »
Nonnnn, sans blagueeee ??? T’es trop forte Meredith ! L’ancienne élève de l’homme qui se tenait en face d’elle accorda un petit sourire intimidée. Et pour l'appellation professeur, ben, pas facile de perdre une habitude de sept ans du jour au lendemain.
« Sinon, vous allez bien ? »
Allez, on se rattrape ma petite ! Même si ce n’est pas le meilleur moyen, m’enfin on s’en contentera…
Dernière édition par Jacinthe de Vinci le Dim 24 Jan - 20:43, édité 6 fois
Sujet: Re: ~ Segnorita de Vinci Sam 23 Jan - 19:21
- A PIECE OF YOUR LIFE .
« 1430 ~ Dans la somptueuse Florence du XVe siècle, ville aussi célèbre que la New York d'aujourd'hui, un joli petit bambin vit la lueur du jour au début de la floraison des champs de lilas. Ce bébé, c'est moi. Francesco del Verrocchio, mon père, m'associa le prénom de Jacinthe, en référence à la Sainte catholique. Je ne sais pas trop de qui il s'agit, mais je le trouve de bon goût. Deuxième enfant de la famille, je fus bichonnée par mon grand-frère, Giorgio, qui nourrissait l'ambition semblable que père autrefois, celle de devenir charpentier. Même en tant que fille et cadette de la famille, je reçue la même éducation que le futur héritier de la famille. Scolarité élevée, art de la défense, art de la délicatesse, coutumes et traditions et la liste s'allonge encore de quelques mètres. Je possédais tout l'attirail nécessaire pour devenir une femme forte dans la vie, même si les gens du sexe 'faible' intelligents étaient redoutés de la société masculine. Mon père m'en avait averti et j'étais assez maligne pour rester sagement derrière les limites de l'indécence. Enfin...presque
Pendant toute mon enfance et mon adolescence, je vécue entre les murs soigneusement décorés de la villa même s' il me prenait souvent l'envie volatile de gambader dans les rues de la ville, avec quelques-uns de mes proches amies. Je ne savais pas trop comment mon avenir allait s'assembler à l'époque, il faut dire que j'étais encore fort jeune. Mais la destinée d'être femme au foyer me répugnait. Ce rôle coutumier aux femmes qui avaient l'obligation d'épouser un mari, de procréer pour s'occuper plus tard des enfants et du mari revenant du boulot. Avec mon caractère libertine et farouche, ce rôle ne m'était pas destiné. Loin de là. Alors, quel avenir aurais-je pût envisager ? Ce n'est un secret pour personne que mon amour de la peinture me dévore les trois quarts de mes journées. J'adore peindre, me laisser emporter par l'imagination débordante dont mon esprit se nourrit. Même étant modeste, j'avoue avoir un certain talent pour ça. Mais il n'y a pas que la peinture qui prit place dans ma vie. Ce désir irrépressible d'inventer, de créer me poussa petit à petit à créer des machines élaborées qui auront leur place dans la vie future. Avec ma nature savante et ingénieur, je n'eus aucun mal à trouver et fabriquer les choses moi-même. Je n'oubliais cependant pas la peinture qui m'attendait devant un tableau vierge. Mon père trouvait ces occupations inappropriées pour une femme et Oh Sainte Marie que je m'en moquais ! Oui, j'étais rebelle, farouche et têtue comme une mule ! Soutenue par ma mère qui s'amusait des débats quotidiens entre moi et mon père, je n'avais pas cette douce frayeur d'affronter le terrible paternel. D'ailleurs, mon père n'était pas un homme à être violent, surtout vec ses enfants.
A mes seize ans, que je n'eusse pas la surprise d'entendre mon père m'informer du nom de mon futur époux. Dans le milieu bourgeois, voir une fille se marier avec un homme choisi par son père est chose coutume. J'espérais simplement qu'il ne s'agisse de l'un de ces prétentieux petits bourgeois, hypocrites et désillusionnés. Enfin, j'avais pleine confiance en mon père pour me trouver un mari convenable pour moi. Après tout, il sait bien que je ne suis pas une femme facile et soumise.
Dix-sept ans, me voilà mariée à Messer Piero Fruosino di Antonio da Vinci, chancelier et ambassadeur de la République florentine et descendant d'une riche famille de notables italiens. Je ne vous cache pas la grande différence d'âge. Trente ans de différence pour être exacte. Cela ne m'a pas dérangée car j'ai toujours apprécié les hommes matures, et lui semblait avoir décelé assez vite mon caractère pour ne pas m'offenser avec des propos sexismes qui rabaissaient bien souvent la femme. Il m'aimait comme j'étais, avait fondu devant mon élégance délicate et, surtout, a toujours commenté de propos plus qu'appréciateurs mes peintures. Il m'offrait ses bons soins, quêtait après mes conseils judicieux. Un an après notre mariage, je donnais la vie à un enfant, notre enfant ! On s'était mis ensemble d'accord sur le prénom qu'il porterait, premier enfant, garçon et futur héritier de notre fortune ; Léonard de Vinci. Quel ne fut le bonheur de mes parents lorsque moi et Antonio leur apprirent l'évènement. Une grande fête eût lieu la semaine qui suivi, où des riches familles amies furent conviées. Avec mon Léonard dans mes bras et Antonio à mes côtés, je n'aurais pût espérer plus grand bonheur. J'ai un peu perdu de mon caractère têtu à force d'être avec mon mari, mais je reste une femme savante, débordant d'une intelligence, d'un savoir saisissant et qui cherche toujours à créer. Ma peinture est devenue célèbre dans tout le pays et s'est même étendue jusqu'aux frontières de la grande Angleterre en à peine quelques années. Oui, une femme peintre talentueuse n'est pas coutume à cette époque, j'en suis moi-même fière. Il est d'ailleurs étrange de constater le surnom que l'on vous donne au bout d'un moment. En ce qui me concerne, on me surnomma 'le Cygne d'or'. Cygne pour la délicatesse dont je faisais sûrement preuve, or pour la richesse qui ressortait de mes oeuvres.
Les années passent, mon petit Léo grandit à vitesse X . Je voyageais souvent d'Est en Ouest dans notre belle Europe pour peindre le portrait de grandes et nobles personnes, notamment des rois Edouard IV et Charles VII. Moi qui aurait vu mes voyages s'étendre jusqu'au Proche Orient, mes rêves furent malheureusement brisés en une et unique nuit. A mes 22 ans, moi qui me promenais dans les rues de Florence, insouciante, j'eus le triste sort d'être tuée ce soir -là. Tuée ? A moitié, car je ne serais pas à là vous raconter mon histoire s'il en était autrement. Plus précisément, j'ai été mordue par une créature de la nuit, quelque chose dont j'ignore la nature, mais qui me transforma comme elle. Oui, j'eus le temps de voir qu'il s'agissait d'une femme , dont la beauté divine m'avait attirée dans un piège infâme. Je suis morte ce jour-là, pour renaître à nouveau en une créature dont j'aurais voulu ne jamais connaître l'existence. Pourquoi ? Cette nouvelle soif irrépressible du sang, cette violence qui m'avait poussée à commettre un premier meurtre après ma transformation et puis cette peur de ce dont j'étais capable m'empêcha de retourner chez moi, d'aller me réconforter dans les bras chauds et désireux de mon mari....mais surtout, de revoir mon fils, petite boule de chair au sang frais et onctueux. J'avais peur de ce que j'étais devenue et je n'étais pas en mesure de me contrôler. J'étais devenue un danger public. M'approcher de mes proches était chose devenue impossible. Ma décision fut simple : la fuite. Je m'enfuis dans les zones retirées de l'Asie, échappant en même temps à ma créatrice. J'étais ivre de liberté, pas vraiment consciente de ce que je faisais. Chassant seule de ville en ville, je m'abreuvais du sang des humains avec un plaisir qui me faisait honte. Il m'arrivait de temps à autre de revenir en Florence pour voir les personnes que je chérissais le plus : mes parents, mon mari désespéré de ma disparition et mon enfant, encore en manque de mon absence. Leur tristesse me désempara et je les regardais changer au fil des années. Mes parents moururent quelques années plus tard, suivie par celle d'Antonio qui succomba de la tuberculose. Mon Léo quant à lui était devenu un génie de notre époque...qu'est-ce que j'étais fière de lui ! Mais je ne pouvais m'en approcher, j'avais toujours cette peur qui me nouait l'estomac, même si j'arrivais à présent à me contrôler.
Un demi-siècle se consuma, les gens de mon passé avaient tous succombé au temps qui passe, excepté mon fils. J'aurais aimé lui parler, lui dire quelques mots, mais il m'avait probablement oublié depuis le temps. Aaa...après 52 ans passés en tant que vampire, je n'en pouvais plus d'arracher la vie à des humains innocents. Leurs cris d'agonies, ces regards effrayés me dégoûtèrent. J'ai commencé à essayer de m'abreuver de sang animal plutôt qu'humain. Mais seule, sans aide, cette mission ardue engendra un premier échec. Heureusement, j'avais eu vent de l'existence de la famille Denali, vampires végétariens vivant en Alaska. Je me rendis là-bas, voir qui ils étaient vraiment et s'ils pouvaient m'aider. Ce fût le cas. Pendant un siècle, j'avais ma place auprès d'eux, ces êtres accueillants pour qui je m'étais liée d'une grande amitié. Et la suite de ma vie se déroula en Italie où je m'étais de nouveau installée. Voilà deux siècles que je possède mon propre château à Florence, enfin, celui de mon mari défunt pour être plus exact. Qu'elle ne fût ma surprise de constater la célébrité répandue de Léonard de Vinci, mort lui aussi, de siècles en siècles. Ame impérissable grâce au talent reconnu de son génie. Mais ceux-ci ne sont plus, depuis bien longtemps. A présent, je mène une vie tranquille et parfois nomade en ce monde. Ma passion de la peinture ne s'est encore jamais éteinte et il m'arrive de temps à autre de m'adonner à celle-ci. »
Dernière édition par Jacinthe de Vinci le Dim 24 Jan - 13:02, édité 11 fois
Il y a beaucoup de personnes qui sont difficiles à cerner en ce bas monde. Un bon nombre dont le caractère est difficile à cerner. Rassurez-vous, Jacinthe n’en fait pas partie. Au premier coup d’œil, il est aisé de voir que cette charmante Florentine est très sympathique avec son entourage, même si elle peut être des plus têtues à maintes reprises. On l’adore pour son charme naturel, la gentillesse dont elle fait preuve et surtout, la fidélité qui la caractérise. Fidèle à ses amis, fidèle à ses paroles, fidèle à soi-même. L’honnêteté vient s’en mêler. Jacinthe mentir ? Si ce n’est sur sa vie éternelle auprès des humains, pour le bien de l’existence vampirique, le mensonge est une chose qu’elle prohibe. Hypocrisie, mensonge, moquerie, quelles douces cruautés qui pourtant, concerne bien plus d’êtres vivants que l’on ne l’imagine. Les humains sont ainsi faits. On ne retrouve pas cette ‘sorte de cruauté’ chez Jacinthe, mais elle est loin d’être quelqu’un de parfait. Un peu trop franche et directe, c’est dans sa personne d’énoncer verbalement ce qui lui traverse l’esprit, de parler à voix haute sans vraiment s’en rendre compte. Quand une personne ne lui plaît pas, elle le dit avec franchise, sans tourner autour du pot comme d’autre le ferait. A quoi sert-il de patauger dans la gadoue quand il est possible de s’en sortir par quelques paroles ? Cette franchise lui a fait plusieurs fois défauts, mais qu’importe, au moins les choses sont-elles claires comme ça.
Son savoir, la richesse de ce qu’elle détient au plus profond d’elle lui permet de tenir des conversations des plus attrayantes, de se rendre naturellement intéressante aux yeux des autres par le prix de ses paroles. Elle aime converser, même des sujets les plus banals devant des gens qu’elle connaît un minimum. Par contre, elle reste assez réservée face à des inconnus, où plutôt modère ses paroles. Après tout, on ne peut jamais savoir sur quel genre de personne l’on peut tomber. Et heureusement, sans quoi la vie perdrait de sa splendeur. Les rebondissements, les surprises incessantes, joies et malheurs explosives n’existeraient pas car on saurait quel choix opté bien avant l’heure. Bref, vous pouvez voir comme Jacinthe raffole des surprises.
Elevée parmi la haute bourgeoisie lorsqu’elle était encore humaine, la Florentine n’a rien perdu de ses manières délicates et gracieuses. Elle n’est pas vraiment attachée au luxe, mais se plaît quand même à apprécier ce qui y touche. Loin d’être orgueilleuse, ni de posséder un égo qui ferait tapir le peuple des rues, cette perle d’Italie fait preuve d’un sens de l’égalité impressionnant. Elle trouve ces histoires de race supérieure, où simplement, le fait d’écraser les autres de par son intelligence, stupide ! Quelle idiotie humaine ! Enfin, le monde est comme il est...
- A PIECE OF YOUR HEAD .
~ Goûts : Jacinthe aime les choses simples et naturelles. Autant dans ce qu'elle fait que la façon dont elle s'habille, le plus souvent de longues robes à dentelles blanches. Simple et pure, sans véritable distinction si l'on oublie ses manières bourgeoises. Elle se contente de ce qui est à sa disposition.
~ Loisirs : Jacinthe passe le plus clair de son temps à écrire puisque c'est ce qui fait sa profession actuelle. Oui, elle n'aime pas ne rien faire et peintre lui aurait été difficile puisqu'on connaît déjà une Jacinthe de Vinci d'il y a cinq siècles. L'écriture est tout aussi important pour elle, mais pas autant que la peinture à laquelle elle s'adonne régulièrement en privé. Mais cette petite Florentine adore les promenades dans la nature où dans les villes aux bâtiments majestueux d'époques.
~ Ami(e)s : L'amitié, un domaine pour lequel Jacinthe est fidèle jusqu'au bout des ongles. Elle ne cherche pas spécialement à se faire des amis, disons que ceux-ci lui viennent naturellement.
~ Manies : /
~ Rêves & phobies : Un rêve? Jacinthe pense l'avoir déjà réalisé mais au plus profond de son être, elle sait qu'il se poursuivra jusqu'à son dernier souffle. Elle baigne dedans depuis des siècles, sans jamais parvenir à sa réalisation complète. Quant est-il? Bonne question, elle n'en sait strictement rien. Adviendra ce qui viendra...Quant aux phobies, tout le monde possède une peur dans sa vie, même des plus infimes, sinon, où se trouverait la part d'humanité qui sommeille en nous? Jacinthe en possède elle aussi une, c'est celle de perdre ses êtres chers. Oh, pas de sa vie humaine puisque voilà longtemps que ceux-ci ont été soufflés par le temps, mais les gens auxquels elle s'est lié d'amitié ces derniers siècles. Vampires, lycans, humains. Quoi de plus triste de voir quelqu'un qu'on aime mourir?
Dernière édition par Jacinthe de Vinci le Dim 24 Jan - 13:44, édité 11 fois
Bienvenue parmis nous et merci de ton inscription J'ai réglé le problème de code de ton premier poste, et je te souhaite bon courage et bonne chance pour le reste de ta fiche qui a l'air très prometteuse !
Sujet: Re: ~ Segnorita de Vinci Dim 24 Jan - 13:39
Mewciiiiii à tous(tes) pour l'acceuil
Bella : Bingo Tu as gagné un gros câlinnn
J'ai fini (en espérant que ce soit bon) Bonne lecture J'ai préféré ne pas énoncer qu'elle avait un don quand j'ai vu qu'il y avait un topic 'd'autorisation' existant pour cela. J'en ferais la demande quand je serais validée (si c'est ok)
Sujet: Re: ~ Segnorita de Vinci Dim 24 Jan - 15:01
Je sais je sais je suis trop forte xD Etant donné que nous limitons les vampires végetariens nous devons d'abord en parler entre nous pour ta validation dans ce groupe là
Sujet: Re: ~ Segnorita de Vinci Dim 24 Jan - 16:24
Hiihiihiiii j'étais certaine que c'était toi Etant donné que Bella, Rena et moi connaissons ton niveau de RP nous t'accordons le régime végétarien. Et hop hop, une place en moins
Sujet: Re: ~ Segnorita de Vinci Dim 24 Jan - 16:43
Je n'ai pas encore lu ta fiche donc je peux pas dire ça En tout cas tu es acceptée en tant que végétarienne, je suppose que ta validation devrait arriver sous peu (: