- AGE : Pour les autres, dont le cœur bat impunément dans la poitrine, raisonne sans cesse sur mon visage; les doux hivers de mes dix-huit ans, plus ou moins. C'est l'âge que l'on me donne en général. Pour vous autres, qui n'ignorez rien de ma terrible malédiction, vous savez qu'en réalité, me précèdent mes quatre-vingt quatre ans. - ORGINE : Née et d'origine américaine. Je n'ai pas de sang étranger dans mes veines, si tant est qu'on pense qu'il me reste cette chaude matière dans le corps. - GROUPE : The vegetarians one. J'ai un casier vampirique presque aussi immaculé que mon créateur. Je ne souhaite pas devenir un monstre. - AVATAR : Nikki Reed
- YOU BROKE MY LEG .
« Les premières qualités qui ressortent de chez moi sont ma franchise, mon charisme, et mon honnêteté. Tous vous diront que Rosalie Hale, si elle n'est un modèle de patience, est au moins un modèle de franchise. Toujours la vérité franchis mes lèvres, qu'elle soit blessante, ou pas. Mon frère n'a pas besoin de lire dans mes pensée pour prendre de l'avance, je lui dirai immédiatement. Des reproches aux autres, j'en fais, volontiers, mais je n'aime pas en être le sujet. C'est pourquoi je suis toujours très ordonnée, toujours miss parfaite, et je me plais à cultiver cette image de poupée de porcelaine. J'ai toujours l'air parfaite, et vos regards de peur, mêlés à l'incompréhension et à l'admiration me plaisent bien. Je suis aussi assez intelligente, même si je n'aime pas m'en vanter [de plus mon attrait physique est souvent mis plus haut que ce côté la de mon caractère]. Je dois cette qualité à mon âge. Tant d'années à vivre sur cette terre, j'ai eu le temps de m'adonner à beaucoup de lectures. J'aime le cinéma, les pays étrangers, l'histoire et ainsi de suite. On me voit généralement calme dans ces activités, mais ne vous fiez pas aux apparences, si je peux être adorable, je n'en reste pas moins une demoiselle susceptible et rancunière. Mieux vaut ne pas me contrarier, ni me provoquer pour éviter ma colère. Tout le monde sait que ma patience est d'une renommée planétaire ... bon très bien, c'était ironique. Je n'aime ni attendre, ni faire attendre. En moi, ressort une ponctualité extrême, ce qui, pour ma condition, est facile à réaliser. Peut-être même qu'avec certains (pour ne pas dire qu'un seul), je peux me montrer très affectueuse. Côté pudeur, on aura vu mieux. Je n'ai aucune gène à montrer l'amour que je porte à mon mari, en famille, ou au lycée. A mon âge, la pudeur n'a plus vraiment lieu d'être pour moi. J'ai d'autres bons côté, mais ayant l'éternité devant moi je préfère attendre pour vous les montrer. Ainsi, le mystère Rosalie restera entier à vos yeux. Si j'ai, ce que certains appelleront une gueule d'ange, image que j'aime cultiver, on ne peut pas dire que mon caractère les réconforte dans cette idée, et en particulier mes défauts. Personne n'est parfait, pas même un vampire, je vous assure.. J'ai un très mauvais caractère, j'en suis consciente, et je n'ai pas l'intention de changer d'ailleurs. Je ne souris que très peu, je me sens souvent menacée et donc rarement en confiance, je ne parle que lorsque c'est nécessaire, je peux être très jalouse, têtue ou bornée comme vous préférez, de mauvaise foi et là encore j'en passe bien d'autres. Non en faite, pas comme vous voulez, je suis tout cela, je l'assume. Mes défauts sont là, nombreux, visibles, mais il me passent bien au dessus de la tête. Ma seule recommandation : laissez moi seule, tranquille, avec ma famille, et tout ira bien pour vous et pour moi. Mon côté vampire, même après ces nombreuses années ne me plait pas tant que ça, et c'est ce qui me rend un peu grincheuse et asociale. Mes sourires, mes paroles, ma confiance, tout ceci n'est réservé qu'a ma famille. Je peux à vos yeux passer pour une jeune fille snob, superficielle et ainsi de suite, mais en réalité, je suis blessée, meurtrie par ce que je suis. Ma première jalousie, c'est le cœur qui bat dans vos poitrines, viennent ensuite les regards que vous posez sur mon tendre époux. Je suis prête à tout pour le garder. Je ne parle pas de mes sentiments, je préfère les montrer. Je change aussi rarement d'avis, et pour me faire entendre raison, il faut parfois s'y mettre à plusieurs. Quand j'ai décidé quelque chose, vous ne serez pas trop de trois ou de quatre pour m'arrêter. »
- A PIECE OF YOUR HEAD .
• Je suis la deuxième mère de ma famille. Mon rêve fut anéanti par mon passé, et je reporte mon attention et mon affection maternelle sur ma famille, à commencer par mon tendre époux. • J'aime par dessus tout m'occuper de mon bébé, mon petit plaisir. Je la bichonne autant que moi, ma jolie voiture rouge, voyante et peu discrète, comme moi. La mécanique, je connais et je n'ai pas peur de me salir les mains. • Tout le monde sait que j'aime le shopping, que je suis accroc. Moins qu'Alice, certes, mais quand on a un compte en banque aussi pleins que les nôtres et une vie entière, faite d'éternité, il faut savoir s'amuser. • Si Carlisle n'a jamais tué une seule personne, je suis celle qui en a tué le moins après lui, respectant le régime imposé par mon père. Sept meurtres, je n'ai commis que sept meurtres, et pas une goute de sang de ces hommes n'a franchi mes lèvres. • Même si la notion de temps n'est plus la même pour moi, j'aime passer des heures et des heures devant le miroir, à essayer diverses tenues, me coiffer, me maquiller, bien que même sans cela, je surpasserai la beauté de tout humain ou vampire connu. Le narcissisme me va si bien, vous ne trouvez pas?
- AN ANONYMOUS ?
- PSEUDO/PRENOM : Chouchou <3 - AGE : 20 ans - JOUEUR/JOUEUSE : Joueuse - PERSONNAGE : Prédéfinie très chère. - COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HD ? Un forum de pub, je crois. - CODE DU REGLEMENT : J'aime votre code xD - UN AVIS : Hum ... faut faire venir d'autres membres et plus vite que ça (aa) - EXEMPLE DE POSTE :
Spoiler:
Heureusement que nous ne dormions pas. J'avais une tonne de choses à faire depuis notre retour à la villa. Déjà, j'avais commencé par reposer mes doigts sur le piano d'Edward, et rejouer m'avait fait plaisir. Nous avions bougé beaucoup ces trois dernières années, trop pour se mettre à remplir une maison de meubles qui n'étaient pas dit nécessaires. Enfin, il est vrai que pour nous, vampires, mis à part quelques vêtements, et des animaux (pour notre famille), rien ne nous était plus nécessaire. C'était un avantage quelque part. mais nous aimions agir comme des humains. Aussi, même si nous n'en avions pas besoin, nous nous asseyons pour parler, nous respirons, ni clignons des yeux et ainsi de suite. Nous avions gardé toutes ces petites mimiques humaines qui me redonnait quelque fois l'impression que la vie ne s'était pas arrêtée pour moi.
Alors que les hommes étaient partis chasser, j'étais restée dans ma chambre. Pas que je n'aimais pas me joindre à eux, au contraire, leur course à celui qui attraperait un daim le plus vite était amusantes parfois. De vrais enfants. Mais là, l'heure était grave. Mains sur les hanches, je regardais ma penderie de haut en bas, ne sachant pas par où commencer. Trois ans que tout cela traînait là. Certaines choses n'étaient plus à la mode, bien que d'autres sentent encore le neuf. Il me fallait faire de la place pour notre prochaine virée à Port Angeles ou à Seattle avec ma petite sœur préférée. Alice et moi, les deux de la famille complètement accro au shopping. Je ne doutais pas qu'elle nous verrai bientôt dans une de ses visions en train de dévaliser les magasins puisque j'allais moi même lui demander d'y aller un de ces quatre. Il faudrait bien entendu faire attention à la météo. Sortir en plein soleil pourrait être dangereux. Peut-être qu'Esmé voudrait nous accompagner aussi. Nous ne passions que de très rares moments entre femmes. Ce qui était bien dommage.
Je pouvais sembler fatiguée, mais ce n'était pas le cas. En fait, j'étais plutôt blasée devant tant de vêtements. J'étais bien organisée, cela était certain. Comment avais-je pu en entasser autant dans une si petite pièce. Certes, le dressing d'Alice devait, en surface dépasser trois fois celui de ma chambre, donc quelque part, je passais pour une personne raisonnable, mais à voir s'empiler les jeans, les top, les robes et les gilets sur les portes-manteaux, les chaussures en bas ... on se posait la question. Et tout ça ... sans compter qu'à côté des miens, les vêtements de mon mari s'entassaient aussi de manière aussi parfaite que les miens. Il en avait moins que moi, mais je tenais à ce qu'il soit toujours le plus parfait possible, et donc qu'il ait de quoi s'habiller. Laissant finalement mes bras pendre le long de mon corps, j'ai fais un pas en avant et j'ai plongé les mains dans cette caverne au trésor. Au fur et à mesure que j'attrapais les vêtements, où je repliais pour mieux ranger, où c'était un vol plané en direction du lit. Vive les ménages de printemps, non seulement on vide les armoires, mais dans notre cas, cela voulait dire qu'on s'apprêtait aussi à vider nos comptes en banque. Enfin, nous avions les moyens, c'était la aussi un avantage d'avoir une petite voyante dans notre famille.
Dernière édition par Rosalie Hale le Sam 30 Jan - 0:53, édité 9 fois
Rosalie L. Hale
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Allows the voices RELATIONSHIPS: Groupe: Cullen Age: On ne demande pas l'âge d'une jeune femme cher(e) ami(e).
Sujet: Re: Rose ●● Beauty from pain }} done... 1000% Ven 29 Jan - 23:31
- A PIECE OF YOUR LIFE .
« C'est en 1915 que j'ai vu le jour. Je suis née à Rochester, quartier aisé de la magnifique cité new-yorkaise. Le quartier que j'ai connu regroupait une certaine catégorie de gens, à savoir, ceux venant d'un milieu social plus que modeste. Mon père, bel homme, reconnu, travaillait dans un banque, celle de la famille 'King'. Grand, athlétique, et désirant plus que tout se démarquer dans la bonne société, il a épousé une femme ayant les mêmes souhaits de lui. Ma mère est restée femme au foyer, s'occupant du domicile, de la bonne place de la famille dans le monde, mais aussi de ses trois enfants. Je suis née la première. Après moi, sont arrivés deux petits frères.
J'ai toujours vécu heureuse parmi eux, même si mon père était rarement la, et que ma mère passait plus de temps à s'inquiéter de notre aspect physique que de notre culture intellectuelle. Je n'ai jamais compris, avant mes douze ans, ce que mes parents appelaient 'mon potentiel'. Mais grâce à cela, mon père m'offrait toujours de jolies robes, ma mère, ses amies et les miennes s'extasiaient devant ma chevelure. Quand ils ont commencé à parler de mariage, j'étais âgée de douze ans, et alors j'ai compris. Je suis devenue de plus en plus coquette, et j'aimais le regard des hommes qui me suivaient dans la rue.
Mon amie (pour ne pas dire meilleure) Véra, et moi-même avions les mêmes rêves. Nous voulions nous marier, vivre heureuse, fonder une famille, avoir notre propre maison. Pendant toutes les années où nous nous sommes connues, nous nous complétions. Elle était ma confidente, ma sœur, tout pour moi. Un jour, j'ai appris qu'elle allait se marier, avec un garçon que mes parents n'auraient même pas remarqué pour moi : un Charpentier. Mais elle était heureuse, et c'est ce qui me rendait jalouse. Nous avions seulement dix-sept ans, et voila qu'elle était devenue, alors que moi, bien que tous se retournaient sur mon passage, je n'avais personne. Quand elle est tombée enceinte, j'ai cru mourir de jalousie, plus encore lorsque son petit garçon est né. J'étais consciente de mon hypocrisie, de ce sourire ravi que j'affichais en sa présence, alors que je ne voulais qu'une chose : ce qu'elle avait. Je l'ai finalement trouvé, l'année de mes dix-huit ans, ou plutôt, mes parents l'on choisi pour moi.
Je l'ai rencontré parce qu'il était le fils du patron de mon père; Royce King allait hériter d'une belle fortune, et je n'ai vu en lui que celui qui saurait me rendre heureuse. J'aurai moi aussi un mari à aimer, une maison à diriger, un garçon avec des fossettes à élever. Tout ce que mon amie Véra avait, je l'aurai aussi, mais avec bien plus d'aisance. Comme souvent, mon père oubliait soi-disant son déjeuner. C'est affublée d'une de mes robes neuves que j'allais à chaque fois le lui porter. Il m'a courtisée, je me suis prise au jeu, et nous annoncions nos fiançailles deux mois après. Royce King avait tout pour plaire : l'élégance, l'argent, le charme, tout. Et j'étais maintenant celle qui lui était promise. Cependant, cet avenir utopique qui me souriait, m'échappait en même temps, sans que je m'en aperçoive. J'étais heureuse, et c'était tout ce qui comptait. J'avais alors mes dix-huit ans.
J'étais sortie pour quelques affaires personnelles, rendre visite à mon amie, et acheter encore quelques petites choses pour mon prochain mariage, qui aurait lieu incessamment sous peu. Alors que je me suis décidée à quitter la demeure de ma vieille amie, en qui toute jalousie et rancune avait disparu de mon être grâce à Royce, je me suis rendue compte que la nuit était tombée depuis longtemps. Ma mère devait être en train de s'inquiéter. J'ai longuement marché sur les pavés froids des rues de New-York, illuminées par la seule clarté de la lune. J'ai alors entendu des bruits. J'ai sans nul doute reconnu mon fiancé, avec ses amis. C'est alors que le monde sembla s'écrouler autour de moi. Ils avaient bu, étaient tous ivres mort, et moi, au milieu de ces hommes forts, je n'étais qu'une simple rose à qui on arrachait ses pétales. J'ai été abusée sexuellement, sur les pavés de cette rue, sous les rires des autres, alors que je pleurai mon bonheur qui venait de s'échapper pour de bon. Torturée, blessée, meurtrie, autant de corps que d'esprit.
C'est alors que survint, si on peut dire, ma première rencontre avec ma famille. Alertés par l'odeur de mon sang, Carlisle, sa femme Esmé et Edward étaient arrivés. J'ai eu peur, que ces personnes si parfaites physiquement soient des monstres comme Royce et ses amis. Je ne me souviens plus très bien, juste de quelques mots, comme le fait que de me transformer était dangereux, pas Rosalie Hale, pas elle. Un tel gâchis. Puis une vive douleur s'empara de moi. Ma tête me brulait, mon corps réclamait l'arrêt de toutes ces souffrances, mon esprit voulait partir, libre, je n'avais plus rien à perdre, pas même mon bonheur. Qu'on me laisse partir en paix, c'était tout ce que je demandais. Mais il en fut autrement. Voila que quelques jours après, j'étais moi aussi plus belle, moi aussi plus forte, moi aussi différente, comme eux, comme les Cullen. Carlisle m'a tout appris, ce que j'étais devenue, pourquoi est-ce qu'il m'avait sauvée, et tout ce que je devais savoir. Mais je n'ai retenu quelques mots comme 'vampire', 'force' et 'sang'. J'avais soif, certes, mais je n'ai pas ressenti cette soif comme tous les autres vampires. Moi, j'avais soif de vengeance, et j'avais maintenant l'occasion de la mettre à exécution.
J'ai attendu quelques temps avant de mettre mon plan à exécution. On criait dans toutes les rues que Rosalie Hale avait disparue. J'étais partie avec les Cullen, aussi furent-ils accusés à tord, mais personne n'en sut rien. Je n'ai pas eu à attendre longtemps que les bruits se taisent pour revenir. Un à un, j'ai tué les amis de Royce, ceux qui ont rit, qui m'ont blessés. Je voulais le voir souffrir. Lui. Lui qui devait m'offrir tout ce dont j'avais rêve ne m'avait offert qu'un moyen de me venger. Ses quatre amis morts, j'ai été cherché ma robe de mariée, que j'ai enfilé sans difficultés. Je me suis rendue chez Royce, qui, pour sa protection, après avoir entendu les nouvelles, s'était protégé de deux gardes du corps. Ils ne firent pas le poids contre une jeune vampire assoiffée de vengeance comme je l'étais. Alors que j'étais là, devant lui, plus resplendissante que jamais, il a cru à une hallucination. Était-il donc idiot à ce point? Personne ne le saura jamais. Comme les autres, je l'ai tué, prenant un malin plaisir à le voir souffrir, et priant pour que ses dernières pensées soient des regrets pour ce qu'ils m'avaient fait. Tout était à présent terminé. Ma 'mort' avait été vengée, les véritables coupables avaient été punis. Jamais je n'ai bu leur sang. Je ne voulais pas m'abreuver du sang de monstres comme eux, ni de sang humains tout court d'ailleurs. Je n'étais pas un monstre moi-même. Je suis retournée près des Cullen, trouvant en eux le réconfort d'une famille que j'avais toujours désiré.
En me transformant, Carlisle avait espéré que je devienne pour Edward, ce qu'Esmé était pour lui. Je dois dire que l'idée m'a plu Edward était plutôt joli garçon et ma beauté n'avait été que décuplée par ma transformation. Mais il n'eut pour moi aucun regard de la sorte, n'éprouvant à mon égard que l'amour d'un frère pour sa sœur. Je ne comprenais pas et je lui en voulais. Si je n'étais pas assez bien pour lui, qui le serait? Vivre parmi les humains est très dur pour moi. Je n'ai pas le droit de m'enticher de l'un deux, et le seul homme qui pouvait m'offrir tout ça n'avait aucun attachement de la sorte à mon égard. J'étais de nouveau jalouse, vexée, blessée. Mes premiers sentiments pour Edward n'ont donc pas vraiment été très tendres. Je pense qu'il le sait. Quand nous avons rejoint les Denali, je me suis rendue compte qu'aucune n'attirait son regard, j'ai compris. Je n'étais pas le problème, le problème, c'était lui.
Nous sommes restés ainsi jusqu'en 1935, eux les Cullen et moi, Rosalie Hale. Nous vivions dans un village du Tennessee a cette époque. Un jour, je suis partie chasser. J'étais une âme solitaire, un vampire qui n'aimait pas sa condition. J'avais plusieurs fois pensé à provoquer les forces supérieures afin de ne plus avoir à endurer tout cela, mais je n'en ai jamais trouvé la force. Aujourd'hui, je sais pourquoi. Mêlé aux cris d'un ours, ceux d'un homme avait retenti. Je me suis hâtée vers l'origine des hurlements pour y découvrir un jeune homme âgé d'une vingtaine d'années tout au plus. J'ai alors sauté à la gorge de l'animal, transperçant une artère. Il mourut peut de temps après. Sur le sol, le garçon gisait dans son sang, immobile. Il était si beau. Ses boucles brunes me rappelaient tant celles du fils de mon amie, du fils que je n'aurai jamais. Je ne pouvais pas le laisser mourir, c'était impossible. Faisant fis de ma soif qui pesait ardemment sur ma conscience, ignorant tout ce sang humain appartenant à l'homme, j'ai trouvé le courage de le porter sur mon dos, sur plus de cent cinquante kilomètres. J'ai alors appelé Carlisle, je lui ait demandé de le sauver, comme il m'avait sauvé moi. Je ne me sentait pas le courage de le faire. C'est ainsi qu'Emmett est arrivé dans notre famille, et c'est aussi ainsi qu'il est entré dans mon cœur pour ne plus en sortir.
Nous avons vécu ainsi quelques temps, avant de voir débarquer à leur tour une espèce de petite lutine, toute souriante, avec à son bras, un beau blond très pensif. Alice et Jasper avaient fait un long voyage pour nous retrouver. La demoiselle semblait visiblement au courant de notre condition et de notre mode de vie. Elle dit nous avoir vu dans une de ses visions. J'avais du mal à me représenter cela. Alice, comme Emmett et Edward auraient le nom de Cullen. Jasper, ayant un semblant de ressemblance physique avec moi prendrait mon nom, à savoir Hale. Il serait mon jumeau, nous serions tous les enfants adoptifs de Carlisle et Esmé, deux parents merveilleux. Nous avons alors voyagé de ville en ville, de contrée en contrée, de maison en maison, de lycée en lycée. Voila quelques années que nous nous sommes installés dans la petite ville de Forks, dans la contrée de Washington. Esmé a, pour nous, rénovée une fantastique maison nichée au cœur de la forêt. A nouveau, nous devons recommencer nos études, et à nouveau, nous devons nous contrôler. Cependant, alors que tout semblait marcher sur des roulettes comme disent les gens d'aujourd'hui, cette Isabella Swan venant de débarquer n'apportait aucune onde de bonne à mon avis. Il faudra que je l'ai à l'œil. Avant tout, protéger notre secret et notre famille serait primordial, et ce n'est pas une humaine dans son genre qui viendra faire un remue-ménage dans notre famille. »
Dernière édition par Rosalie Hale le Sam 30 Jan - 0:52, édité 1 fois
Sujet: Re: Rose ●● Beauty from pain }} done... 1000% Sam 30 Jan - 0:22
Bienvenue parmi nous Blondie <3 Et moi alors ... jte boude xD Si tu as la moindre question n'hésite pas à contacter le staff ^^ Bonne chance pour la fin de ta fiche qui commence vraiment bien
ps : De rien pour les messages =) J'ai validé ton code et arrangé le bug de ta fiche On veut aussi des nouveaux membres mais c'est pas facile
Dernière édition par Isabella M. Swan le Sam 30 Jan - 0:38, édité 1 fois
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Sujet: Re: Rose ●● Beauty from pain }} done... 1000% Sam 30 Jan - 0:25
Rosalie Hale a écrit:
Merci Anna ; je n'oublierai pas que tu auras été la première
xD merci
Rosalie L. Hale
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Sujet: Re: Rose ●● Beauty from pain }} done... 1000% Sam 30 Jan - 0:49
Mais non ma Bella, je ne t'oublies pas, j'te garde pour le dessert
Merci pour tout, je suis contente que mon début te plaise. Il me reste mon histoire, ce qui ne tardera point.
Merci pour ma fiche, j'suis pas très douée en codage xD et t'en fais pas, tu en auras, j'en suis sûre <3