Esmé E. Cullen
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Sujet: Dans toute famille, il faut une mère. Lun 1 Fév - 20:26 |
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© RachelDinozzo |
Esmée Anne Platt Evenson Cullen
- AGE : 101 ans - ORGINE : Américaine - GROUPE : Vegetarian Vampyrs. - AVATAR : Elizabeth Reaser |
- A PIECE OF YOUR LIFE .
« C’est autour de l’année mille huit cent quatre-vingt quinze que je naquis. Je pris le nom d’Esmé Anne Platt. J’ai vécu relativement heureuse dans une famille relativement bonne. Mon enfance ? J’en ai très peu de souvenirs. Je me souviens uniquement de mon envie de devenir institutrice et ce, depuis toute jeune, déjà. Ma vie prit un sens différent et c’est doute une étape importante pour expliquer ce que je suis aujourd’hui, lorsque je rencontrai le Docteur Carlisle Cullen pour la première fois. J’avais seize années, j’étais de ces jolies demoiselle que leur parents veulent absolument marier. J’étais jeune et un peu casse cou. Ainsi, je me cassai une jambe en tombant d’un arbre où je grimpais. Drôle de sottise, n’est-ce pas ? Mais c’est la première fois que mon regard croisa celui du beau docteur. J’étais certaine de ne jamais pouvoir l’oublier. Pourtant, il déménagea peu de temps après. Suite à cela, je devins une femme à marier. Mes parents cherchèrent donc un homme qui voudrait de moi. C’est à l’aube de mes vingt-deux ans que j’épousais Charles Evenson. Je devenais donc Esmé Evenson. J’ai toujours voulu des enfants, je les ai toujours adorés d’ailleurs. C’est pour ça que je souhaitais tant être institutrice. Charles, mon mari, n’était pas un homme qu’on dit bon. Lunatique comme pas deux, il n’hésitait pas à user des mains sur moi. Je me laissais faire, j’étais réduite à l’impuissance mais ça me permit d’apprendre à observer et réfléchir. Autoritaire et violent, il avait tout pour réussir à l’armée. Charles fut blessé durant la première guerre mondiale. Ca ne m’attrista pas plus que ça. Seulement, lorsque j’appris que j’étais enceinte, je décidai de m’enfuir. Je savais bien qu’il ferait subir à mon enfant ce qu’il me faisait. Il en était hors de question. Cet enfant, je pouvais l’élever seule, je n’avais pas besoin de lui et de ses coups. Je pouvais être tolérante envers lui et accepter ce qu’il me faisait subir mais je ne l’aurais jamais laissé faire s’il avait du s’en prendre à mon bébé. Puisque oui, c’était mon bébé. Celui que je chérirais plus que tout. Celui à qui j’allais dédier ma vie. Celui que je tâcherais de rendre heureux.
Je portais donc mon enfant à terme. L’accouchement se passa relativement bien, du moins, j’en avais eu l’impression et je pus savourer le plaisir d’être mère. Un bonheur indescriptible qui nous prend tout de suite et ce, même si l’enfant ne peut pas encore nous parler ou nous faire comprendre qu’il nous aime. Quelque part, on oublie tout et ne pense qu’à ce petit être que l’on vient de mettre au monde et on ne sait jamais vraiment quand la réalité nous rattrape mais avec le temps, on s’y fait, on apprend à vivre ce conte de fée au quotidien. Du moins, je pensais que c’est ce qui m’attendait en mettant au monde ce petit bout de vie. Cette petite chose qui était mienne et uniquement mienne. Seulement, la réalité me rattrapa bien plus vite que ce que j’aurais souhaité. Mon enfant, cet être que j’aimais déjà d’un amour inconditionnel, décéda suite à une infection pulmonaire. Mon monde s’écroula alors. Je n’avais plus rien. Plus rien du tout. Mon enfant était mort après avoir à peine pu connaitre le monde extérieur. C’était simplement affreux. Je ne voulais pas croire à cette réalité troublante. Je croyais que j’allais finir par me réveiller mais ce n’était pas le cas. Je m’étais pincé sur le coup. Une seule solution s’imposa à moi. La mort. Oui, je devais me donner la mort pour échapper à tout ça. Je choisis donc de sauter d’une falaise. Assez radical, non ? Quoi qu’il y avait plus radical mais essayons de faire ça proprement. Les yeux embrumés par les larmes, je me rendais donc en haut d’une falaise où j’avais l’habitude de me rendre lorsque j’en ressentais le besoin, c’était assez jolie. Une fois sur le bords, vous dire que je n’ai pas hésité serait vous mentir mais je savais que je n’avais plus aucune raison de continuer à vivre ici bas. Ainsi, je me laissais tomber du haut de ma tour d’ivoire qui était à cet instant une falaise mais peu importe. Je me retrouvais donc au pieds de cette falaise, vivante. En mauvais état mais vivante. Inconsciente, je ne savais pas vraiment ce qu’il m’arrivait. Étais-je morte ? Sans doute, puisqu’on me conduisit à la morgue sans aucune vérification. Ça y est, c’en étais fini. Du moins, c’est ce que je pensais.
Mon cœur battait encore, je pouvais le sentir contre ma poitrine, à un rythme trop peu régulier et trop doucement sans doute. J’étais donc voué à rester là, à agoniser ? C’est le docteur Cullen, l’homme que j’avais croisé à mes seize ans, qui vint me sauver. Je n’étais pas vraiment consciente, je ne le reconnus donc pas tout de suite. Mais je savais qu’il allait me sortir de là, alors que je ne le connaissais pas encore, j’avais déjà confiance en lui. Ce qui suivit me surprit au plus haut point. Lorsque je sentis ses crocs se planter dans mon cou. Je croyais devenir folle, cette douleur aurait pu réveiller un mort. Et ce mal ne fit qu’aggraver mon état. Je pensais bel et bien que c’en était fini pour moi. Qu’Après ses souffrances, je connaitrais la mort, je retrouverais mon bébé. Mais ce ne fut pas le cas. Après les innombrables heures de souffrances, vint le noir. La mort, pour moi. Et c’était ça en quelque sorte. C’était ma mort officielle, la mort de mon humanité. Mais c’était sans compter sur l’immortalité qui m’attendait après. Je ne pouvais comprendre cela. Lorsque je m’éveillais, je fus ravie de constater qu’il était encore là. Plus beau que dans mes souvenirs. Je tombais alors inconsciemment amoureuse de cet homme, Carlisle Cullen. Mon apprentissage se passa relativement bien même si le sang était quelque chose qui avait un drôle de pouvoir sur nous, il fallait l’admettre. Je fis de suite la connaissance d’Edward, un jeune homme qui accompagnait Carlisle. Plus tard, ce fut Rosalie qui nous rejoignis. Une jolie jeune fille, adorable à souhait même si elle détestait son statut de vampire. Entre temps, j’avais épousé Carlisle. Edward devait finir avec Rosalie. Oui, elle devait être sa compagne mais celui-ci ne la vit jamais que comme une sœur. Rosalie, ramena Emmett un beau jour et elle supplia Carlisle de s’occuper de lui. C’est ainsi qu’il rejoignit nos rangs, lui aussi. Peu à peu, nous nous construisions une vrai famille et Edward, Emmett et Rosalie devenaient les enfants que je n’avais jamais eu. Ce sont Alice et Jasper qui nous ont rejoins en dernier, devenant eux aussi des membres de la famille Cullen. Je jouais le rôle de la figure maternelle avec fierté, surtout lorsque je voyais à quel point ces personnes qui m’entouraient été fabuleuses. Seul Edward restait seul, ce qui me fit mal au cœur.
Mais tout changea pour notre famille. Alors que nous vivions paisiblement dans la petite bourgade de Forks. Edward fit la rencontre d’Isabella. Une jeune humaine un peu trop maladroite mais vraiment adorable. En plus de ça, c’était une petite intelligente. Elle ne tarda pas à trouver notre secret. Edward connut alors les joies de l’amour et j’étais une mère comblé. Je me fichais pas mal du statut d’humaine de Bella. Le temps qu’ils seraient heureux ensemble, je serais heureuse moi aussi. Bien sur, avoir un petit ami vampire alors que nous sommes jeune, humaine et fragile, ce n’est pas toujours le meilleur des choix. Il y eut quelques petits incident de parcours. D’abord avec James puis avec Jasper lui-même. Qui manqua de lui sauter dessus lors de son anniversaire, puisqu’elle s’était coupé. Dieu merci, Edward s’interposa à temps. Une fois le danger éloigné, Bella ne craignait plus rien. D’ailleurs nous avions tous préférés sortir, de façon à ne pas être tenté. Seul mon admirable mari resta, pour la soigner. Ce fut un choc pour nous lorsqu’Edward nous fit par de son choix. Il l’a quitté. Nous quittions Forks tous ensemble. J’étais peinée. J’appréciais Bella et je l’avais tout de suite considérée comme l’une des nôtres. uc »
- YOU BROKE MY LEG .
« Je pense que la plupart des gens qui connaissent Esmé se mettront d’accord sur le fait qu’elle représente Amour, Fidélité, Douceur et Bienveillance. Cette femme est née pour avoir des enfants, pour devenir mère et chérir les siens du mieux qu’elle le pouvait, c’était certain. Une femme adorable avec les gens, Esmé est loin de représenter un réel danger pour la race humaine, sauf si bien sur, elle venait à devoir défendre les siens. En effet, pacifiste lorsqu’elle le peut, elle refuse néanmoins qu’on touche à l’un de ses enfants ou à son mari. La jeune femme les aime d’un amour sincère et sans limites, c’est pourquoi elle serait prête à n’importe quel sacrifice pour eux, même à renoncer à son éternité pour tous les sauver. Il est dur de lui trouver des défauts, d’ailleurs. Puisque cette femme ne cherche qu’à faire le bonheur autour d’elle. Femme et mère comblée, elle se révélera très chaleureuse envers Bella et l’aimera comme sa fille tout de suite. Esmé est une femme discrète, elle ne sort pas beaucoup, préférant largement son foyer en compagnie des siens à une sortie en solitaire. Cela dit, elle ne reste pas tout le temps enfermer chez eux quand même. Proche des siens, nous retiendrons surtout qu’elle est, ce qu’on peut faire de plus doux chez les vampires, altruiste et attentionnée, elle est prête à tout pour les Cullen.»
- A PIECE OF YOUR HEAD .
Ecrivez ci-dessous, ce que vous voulez. Vous pouvez ne pas développer et seulement faire une liste de caractéristiques (traits de caractères, goûts, amis...) comme vous pouvez mieux organiser cette section en catégories, et rédiger quelques phrases explicatives sur chaque point. (phobie, manie, tic ou encore peur .. Donne-nous cinq caractéristiques te concernant en passant par l'accro aux vernis rouge ou bien au gars totalement geek n'arrivant pas à s'assumer. Tes petits secrets seront alors dévoilés au grand jour .. laisse donc parler ton imagination débordante) [texte à effacer] • • • • •
- AN ANONYMOUS ?
- PSEUDO/PRENOM : Maman Cullen :p - AGE : j'ai fait mon temps. - JOUEUR/JOUEUSE : Joueuse - PERSONNAGE : Predef - COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HD ? ROSALIE. - CODE DU REGLEMENT : Ok by Sulpi - UN AVIS : Wouah ?! - EXEMPLE DE POSTE : - Spoiler:
« Car où tu iras j’irai, et où tu passeras la nuit je passerai : ton peuple sera mon peuple et ton dieu sera mon dieu ; où tu mourras je mourrai et là je serai enterré » La nuit était sombre ce jour-là. Le ciel avait revêtis son manteau le plus sombre, sans aucun doute. Aucune étoile n’était à l’horizon. Ou alors, j’étais trop absorbé par l’étreinte de mon mari pour m’en rendre compte. Assise contre son torse de pierre, je me délectais de cet instant d’intimité qui était bien trop rare à mon gout. Je ne pouvais pas lui en vouloir, il travaillait beaucoup. Mais je savais qu’il sauvait des vies et que c’était le plus important. J’étais très fière d’être la femme d’un tel homme. J’étais fière d’avoir été celle qu’il avait choisit pour l’accompagner dans son éternité. Oui, je l’aimais d’une façon démesurée. Il ne se passait pas un jour sans que je remercie le ciel de m’avoir mit sur sa route. Ce soir-là, je profitais simplement de ses bras autour de moi. C’était incontestablement mon asile le plus sur. J’avais une confiance aveugle en lui et j’aurais pu garder les yeux fermés toute mon éternité s’il me guidait, je n’avais rien à craindre. Carlisle était pour moi tellement de choses à la fois. Mari, Amant, Ami, Confident. Beaucoup pour un seul homme mais il savait être le tout à la perfection. Il avait de quoi faire complexer n’importe quel homme, humain. Pourtant, j’étais certaine que du temps de son humanité, il devait déjà être bon. Outre le fait qu’il chassait les vampires des rues de Londres. J’aimais croire que si on s’étaient rencontrés à l’aube de notre humanité, nous nous serions tout de même mariés. Même si nous étions nés à des époques différentes. Je me surprise à me fermer les yeux, soupirant d’aise. Je me trouvais à ma place, il n’y avait pas un jour où j’en doutais. Carlisle était tout pour moi. Avec nos enfants, bien sur. D’ailleurs, ce soir-là, je devais aller chasser. Chasser parce qu’il n’y avait que ça pour calmer le feu qui dansait dans ma gorge. Chasse parce que c’était dans ma nature à présent. Je ne pouvais faire que cela. Mais pour soulager ma conscience, les idéaux de Carlisle étaient là, je me nourrissais exclusivement de sang animal. Ce qui était une sorte de soulagement pour nous, vampires se disant végétariens. Je devrais donc bientôt m’arracher aux bras de l’homme merveilleux qu’était mon mari pour aller assouvir mes besoins inhumain. Triste éternité dans ces moments-là. Dieu merci, je savais qu’il serait toujours là à mon retour. Piètre consolation, mais assez pour me forcer à y aller. C’est Edward qui m’accompagnerait. C’était prévu ainsi du moins. Ca m’était égal d’y aller seule ou non mais il était vrai que j’aimais y aller en compagnie d’un de mes enfants ou de mon mari. Edward ayant lui aussi besoin de chasser, nous nous étions mis d’accord. Il m’accompagnerait. J’étais heureuse de pouvoir me retrouver seule avec lui, quelque part, je sentais que nous en avions besoin. Edward comptait énormément pour moi. Tout comme ses frères et sœurs, mais c’était plus spéciale avec lui. Il était mon premier fils après tout. J’adorais sa compagnie, détestais fermement son chagrin. Si bien que si j’aurais pu, je le lui aurait ôté pour qu’il puisse retrouver une vie harmonieuse et heureuse comme la notre. Il était sans doute celui que je plaignais le plus en silence. Et s’il m’arrivait parfois d’encore prier, j’espérais de tout cœur que Bella lui revienne. Par pur égoïsme, pour avoir le plaisir de revoir ses lèvres s’étirer et ses yeux se plisser sous le poids du bonheur. Là, je serais une mère comblée, mais il fallait laisser faire le temps. Dans un mouvement doux, je quittai donc les bras de mon tendre époux. Il se leva lui aussi et je lui offrais un baiser. Doux échange que j’aimais partager avec lui. Lorsque cet échange pris fin, je regardais brièvement notre chambre, comme décidé à ne pas y aller finalement. Ca pouvait bien attendre le lendemain. Il passa alors une main dans mes cheveux caramel et il me sourit. « Va mon amour, tu as besoin de chasser. Je n’ai pas l’intention de m’en aller de tout façon. » Il me sourit à nouveau. Sa voix douce me parvenait aux oreilles. Je ne pus m’empêcher de sourire à mon tour. Déposant un bref baiser au coin de ses lèvres, je quittai déjà la chambre me dirigeant vers le salon où j’espérais trouver Edward. Il n’y était pas. Mais je me doutais qu’il ne tarderait pas à venir. Dans un mouvement emplis de grâce, je pris place près de la porte. Attendant bien sagement que mon fils daigne se montrer. Il ne devait pas être loin. Il capterait mes pensées, sans doute et il viendrait. Je l’espérais en tout cas, sinon, je serais obligé de passer la maison au peigne fin. Seulement, il apparut. Comme un Dieu. Comme chaque personne de notre espèce en fait. Je lui souris. D’un sourire chaleureux et bienveillant, celui que je réservais à mes enfants et à mon mari. Celui d’une mère et celui d’une épouse heureuse. J’étais comblée, et ce chaque jour un peu plus. Si bien que je me demandais si j’avais vraiment mérité tout ce bonheur. Si ça n’était pas un peu trop pour une simple personne pour moi. Après tout, je méritais peut être moins mais je n’en étais pas mécontente pour autant, au contraire, je m’estimais heureuse d’avoir trouvé mon bonheur si facilement. Il n’y avait aucun doute, je les aimais plus que tout. « Prêt pour une partie de chasse ? » Ma voix s’était doucement élevée dans l’air à l’égard d’Edward. Je quittai alors la maison le plus rapidement possible. Me retrouvant aux abords de la forêt qui encerclait la maison. Je savais déjà que je n’avais aucune chance si je commençais à jouer le jeu de la vitesse avec lui. Il était bien plus rapide que moi mais bon, j’avais quand même le droit de chasser. Sans plus attendre, je me remettais à courir pour m’enfoncer dans la forêt sachant pertinemment qu’il me suivait.
Dernière édition par Esmé E. Cullen le Mar 2 Fév - 20:33, édité 3 fois
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