BIENVENUE SUR HEARING DAMAGE, LE STAFF VOUS SOUHAITE UNE BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2010 LE FORUM A OUVERT SES PORTES LE 16 JANVIER 2010 NOUS AVONS BESOIN D'HUMAINS |
|
|
Do you want some Pixie Dust |
|
|
Auteur |
Message |
Alice Cullen
• Messages : 48
|
Sujet: Do you want some Pixie Dust Jeu 14 Jan - 22:40 |
|
|
© Fanpop |
Cullen Alice
- AGE : 102 ans - ORGINE : Américaine - GROUPE : Vampires végétariens - AVATAR : Ashley Greene |
- A PIECE OF YOUR LIFE .
Another night waiting for someone to take me home. Have you ever been so lost ? K.Perry « Mon commencement, ma vie humaine, je ne la connais pas. Du moins, pas très bien. Dans mes souvenirs, je n'entends que des voix, mais je ne vois rien, du moins presque rien. C'est assez troublant quand on y pense. Il y avait bien un infirmier, un stagiaire, si je me fis à ce qu'il m'a dit, qui a commencé à venir me voir de temps en temps, il était très gentil. Nous discutions tout simplement. J'imagine qu'il s'est rendu compte un jour que je n'étais pas folle. Pourquoi ? Eh bien, il m'a raconté pourquoi mes parents sont venus me porter chez eux. Mais bon je vais commencer par le début avant de parler des détails que je connais. Donc, j'imagine que ma vie a commencé comme toutes les autres, c'est-à-dire par l'arrivée d'un beau bébé, moi, et les parents étaient enchantés et émerveillé devant le fameux bébé. Cependant, si je me fis à Daniel, l'infirmier qui m'a sorti de l'hôpital, l'asile en fait, mes parents m'ont apportés dans cet hôpital parce qu'ils avaient peur de moi. Je trouve ça très triste. Ils avaient peur de moi parce que j'avais des visions. Je comprends que ça peut être effrayant sur certains points, mais pas au point où on va abandonner son enfant dans un hôpital psychiatrique. Mais bon, les visites de Dan sont devenues plus régulières et ont finis par être à tous les jours. Moi j'étais heureuse, j'avais de l'attention et de la compagnie. Il y avait des moments où ils mettaient une de ses mains sur l'une des miennes ou sur l'une de mes épaules pour compatir. À chaque fois, je sursautais un peu en sentant la froideur de ses mains. Cependant, je me disais que ça devait être normal, je n'avais que ça comme contacts physiques alors je ne pouvais comparer sa température à d'autres. Cependant, je me demandais comment il faisait pour voir quelque chose dans la pièce, moi ne n'y voyais presque rien. Mais bon, je n'y pensais pas trop, j'étais bien. Malgré le fait que je ne voyais jamais Dan' il faisait beaucoup trop sombre dans la pièce où j'étais, mais je lui faisais confiance. Comment ne pas faire confiance à une personne qui semble bien vous aimer. Cependant, un jour, Dan semblait très très nerveux et a commencé à me parler très rapidement, je n'ai pas vraiment compris ce qui se passait et ce qu'il disait d'ailleurs il parlait beaucoup trop vite. Je paniquais, radicalement. Je ne comprenais pas ce qui se passait autour de moi. C'était beaucoup trop étrange. Daniel était normalement calme, posé et semblait toujours en plein contrôle de la situation. Ce ne fut que plus tard que je compris. » Daniel I've been waiting for someone like you, but now you are slipping away W.Temptation « Aussitôt sorti de l'hôpital, je ne comprenais toujours pas ce qui se passait, mais Daniel me disait de courir et de le suivre. Où est-ce que nous étions en train de fuir ? Je n'en savais rien. Tout ce que je voyais autour de moi était si nouveau que je ne faisais pas attention à autre chose. Je regardais l'homme qui m'avait sorti de l'asile. Je détaillais son visage, ne l'ayant vu que dans la pénombre. Il avait la peau très pâle, les cheveux courts, les traits tirés, de légères cernes sous les yeux et il était très beau. Il avait une chaine en argent au cou avec un pendentif en forme de patte d'ours. Je n'y fis pas trop attention. Cependant, en regardant son visage, je voyais qu'il était inquiet. Pourquoi ? Je ne le savais pas. Mais, après une journée de fuite, du moins je crois, Daniel nous a arrêté. Nous étions profondément enfoncés dans le bois. À ce moment-là, Dan' m'a regardé fixement en tenant mon visage entre ses mains froides, puis m'a dit tranquillement et avec une once de tristesse dans la voix et sur le visage: Je fais ça pour ton bien, ne t'inquiète pas. Je me demandais vraiment de quoi il parlait. Il était la seule personne que je connaissais, la seule personne en qui j'avais confiance. Qu'allait-il faire ? Au début, je croyais qu'il m'embrassait dans le cou, mais je me suis rendu compte que ce n'était pas son intention, il m'a mordu. La douleur qui a suivi a duré pendant environ trois jours. C'était vraiment insupportable. Mais, en même temps, il y a des détails que je trouvais étranges au départ qui me sont devenus clairs. Première des choses, Daniel était un vampire. Il ne fallait pas avoir fait des études supérieures pour le comprendre. Il venait de me morde dans le coup pour boire de mon sang. Par la suite, la froideur de sa peau s'expliquait aussi, il était, techniquement, mort, il n'y avait donc plus aucun qui passait en lui, d'où la température de son corps. Mais bon, quand je suis sortie de mon genre de sommeil, la seule chose que je voulais, c'était que Daniel m'explique. Ma vision était différente, tout était plus clair et je voyais plus loin, je me sentais plus forte et il y avait de nouvelles odeurs dans l'air. Je ne savais pas encore ce que c'était, mais ça sentait extrêmement bon. Mais avant de chercher ce qu'était cette bonne odeur, je voulais trouver Dan', qui n'était plus près de moi. Je suis donc partie à sa recherche avec une agilité toute nouvelle pour moi, tout en le cherchant, je pensais à mes nouvelles capacités et je me suis rendu compte que j'étais devenue comme l'infirmier, un vampire. Après environ une heure de marche, je dis environ parce que je n'avais absolument aucun moyen de savoir le temps qui passait, j'ai trouvé une sorte de petit tas fumant. C'était assez étrange, il y avait une sorte de fumée mauve qui s'en échappait. J'en fis le tour et j'ai trouvé la chaîne de Daniel. C'est là que j'ai compris, Daniel était mort. Pourquoi, je n'en savais rien, mais je paniquais. Qu'est-ce que je devais faire ? Où devais-je aller ? J'étais dans la forêt au milieu de nulle part et je ne savais pas comment le monde autour de moi fonctionner. Cependant, mes pensées furent toutes repoussées par une chose. J'avais soif. Je voulais boire, je voulais boire du sang. C'était ça l'odeur que j'avais sentie un peu plus tôt. Je suis donc partie en chasse et ma vie est restée comme ça durant quelques mois. Elle ne consistait qu'en chasse et en perte de temps à marcher partout sans savoir où aller. Je fis beaucoup de morts, c'est maintenant que je m'en rends compte. Je me rappelle encore de leur visage terrorisé en voyant arriver le monstre que j'étais. C'est horrible, c'est le prix que je dois payer pour ce que j'ai fait. » Romeo save me, I've been feeling so alone. T.Swift « Depuis que j'étais devenue un vampire, mes visions étaient beaucoup plus claires, mais ce n'était pas très précis. Je voyais des gens passer, près des endroits où j'allais probablement passer. Je ne faisais plus attention à ce que je voyais. Ça ne me servait à rien. Cependant, en 1948, il y eu une nuit où je marchais, encore, sans but précis. Je marchais simplement pour marcher. Bref, j'ai eu ma première vision claire, nette et précise. J'ai vu un garçon, blond, grand et mince, mais tout de même musclé, assis sur une banquette de restaurant, tête basse. Pour la première fois depuis des mois, je savais où aller. J'allais aller rejoindre ce garçon qui semblait être comme moi, un vampire. Je suis donc partie en courant, vers ma destination, ce restaurant. En fait, je ne sais pas trop si je peux qualifier ça de course, c'était beaucoup plus rapide. J'avais le vent dans les cheveux et un sourire sur les lèvres, je me sentais plus que bien. J'étais heureuse. Je suis arrivée à ce fameux restaurant le lendemain dans l'après-midi. Je me suis un peu perdue en chemin. Je ne savais pas vraiment où il était, mais je l'ai trouvé. La journée était brumeuse et grise, il y avait très peu de gens dans les rues, ce qui était un avantage pour moi et pour eux. Je ne brillais pas comme un néon et eux ne se ferait pas mordre par nul autre que moi-même. Bref, je suis donc entré dans ce restaurant pour attendre le garçon que j'avais vu. Environ une dizaine de minutes plus tard, le blondinet est entré dans le restaurant, tête basse. Je suis donc allée vers de lui, j'ai mis une de mes mains sur l'une des siennes et je l'ai regardé en lui souriant doucement pour ne pas le brusquer et pour ne pas lui faire peur: Tu sais que tu m'as fait attendre ? Je l'avais trouvé, je savais que nous devions rester ensemble, alors, pourquoi ne pas le lui dire. C'était une blague bien sûr. J'avais eu réellement eu peur qu'il ne vienne pas. Est-ce qu'il allait me prendre pour une folle à venir le voir comme ça s'en prévenir ? Saurait-il que j'étais comme lui ? Heureusement pour moi, le blond releva la tête vers moi avec un air insondable sur le visage puis me sourit gentiment, s'inclina tout bonnement comme tout bon gentlemen du sud en me répondant : Désolé mademoiselle. Nous avons discuté comme ça durant tout l'après-midi et nous avons décidé de faire la route ensemble. Où allions nous ? Nous ne le savions pas très bien. Je dois vouer que ça ne m'intéressait pas vraiment. Jasper était tout simplement fabuleux. Il avait su tout de suite en me voyant que j'étais un vampire moi aussi. Il m'a révélé qu'il pouvait contrôler les sentiments des gens autour de lui et qu'il s'était sauvé d'un clan où il ne se sentait pas comme chez lui. Nous nous comprenions et nous nous respections et de fil en aiguille nous avons pu dire que nous nous aimions. J'étais sa bouée de sauvetage pour qu'il sorte de sa dépression et il était ma bouée de sauvetage pour me sortir de l'incompréhension du monde qui m'entourait. Il m'expliquait comment le monde des humains fonctionnait pendant que nous marchions sans but précis. Il me racontait aussi sa vie sans gêne et je faisais la même chose malgré le fait que je ne savais presque rien sur moi-même. Nous partagions nos repas, ne voulant pas faire de gaspillage et je ne voulais plus tuer comme avant, sans raison. Je devais me calmer. Depuis que j'avais rencontré Jasper, ça allait beaucoup mieux. Je ne tuais que pour manger et c'était qu'en cas d'extrême nécessité. Je me souviens encore des visages des gens que j'ai tués, c'est trop, je ne voulais plus de ça. Jasper a été une bénédiction pour moi. Je l'adorais, tout simplement. Nous étions faits pour être ensemble, c'était clair. Notre rencontre n'était pas un hasard. Nous formions un magnifique couple et nous le sommes encore, sans vouloir me vanter bien sûr. » « C'était le matin, Jasper et moi étions encore en train de marcher en discutant, main dans la main. Cela faisait maintenant deux ans que nous cheminions ensemble. Tout était calme, le soleil n'était pas trop présent, et nous étions en paix tous les deux. Pendant que je parlais de je ne me souviens même plus quoi, j'ai eu une vision. J'ai vu une maison avec des gens comme à l'intérieur. Je nous voyais arriver moi et Jasper et y habiter paisiblement. Nous ne nous nourrissions que de sang d'animaux. Cette famille hors norme et je sentais que nous devions y aller tous les deux. Lorsque je suis sortie de ma transe, Jasper était un peu inquiet, il ne m'avait que peu vu en transe. Je lui avais fait part de ce que j'avais vu, de cette famille de « végétariens ». Ils étaient cinq et vivaient dans une ville du nom de Forks. Leurs noms, je ne le savais pas encore, mais je sentais que ça ne saurait tarder. Mon vampire de petit ami était d'accord pour que nous y allions, il voulait me suivre partout et je ne voulais pas qu'il me quitte. Nous sommes donc partis ce matin-là, à la course, et nous sommes arrivés à la maison de notre future famille le lendemain dans la soirée. Quand nous sommes arrivés, il y avait deux garçons qui se battaient pour s'amuser derrière la maison, l'un deux était très costaud et l'autre était plus élancé, un homme blond les regardait en riant et il y avait une jeune fille blonde qui discutait avec une autre femme qui était brune. Tous semblait être normale. Je tenais Jasper par la main et je sautillais d'excitation à rencontrer d'autres gens comme nous. Je me suis donc avancée et l'homme blond s'est approché de nous en souriant et j'ai dit à la blague : Où est-ce qu'on s'installe ? Mais bon, j'ai repris plus sérieusement en me présentant et en présentant Jasper. J'ai expliqué que j'avais eu une vision de leur famille et que nous voulions intégrer leur clan de végétariens. Celui qui semblait être le chef de clan, Carlisle, nous a accueillit les bras ouverts et nous a présenté toute la famille. Sa femme Esmée, ses « fils » Edward et Emmet ainsi que leur « fille » Rosalie. J'ai tout de suite aimé cette famille, Esmée était vraiment adorable et me traitait comme sa propre fille. N'ayant jamais eu de mère à proprement parler, je l'ai tout de suite adopté en tant que mère. Carlisle est un homme des plus charmants, il a une patience d'ange. Rosalie me traitait comme une soeur, nous discutions de tout et rien et elle m'a apporté faire les boutiques. Je l'ai tout de suite adoré. Emmet était vraiment trop drôle et s'est tout de suite mit à rire de moi et m'appeler la petite ou bien rikiki. C'est un gros ours vraiment mignon. J'ai tout de suite eu une bonne relation avec Edward. Il pouvait être très enjoué une minute et avoir un air de glace la minute d'après. J'aime bien l'analyser. Mais bon, il est un peu comme Emmet avec moi, il aime bien m'agacer pour une raison ou une autre. Depuis notre arrivée dans la famille Cullen, nous vivons paisiblement, Jasper se fait passer pour Jasper Hale enfant adopté par la famille. Fils de la soeur d'Esmée et frère de Rosalie. Moi je suis Alice Cullen, fille d'une cousine de Carlisle et soeur d'Emmet et d'Edward. Ainsi, je peux paraître au bras de Jasper ans problème. Mais bon, les années ont passé et notre vie n'a pas toujours été des plus calmes. Pour commencer, Bella est arrivée dans nos vies, chamboulant notre équilibre. Sérieusement, elle a été une des meilleures choses qui soient arrivée à notre famille. Edward a pu arrêter de déprimer et retrouver une raison de vivre. Je m'inquiétais beaucoup pour lui. Le pauvre était le seul à ne pas avoir de tendre moitié dans la famille. Je n'étais pas dans sa tête, mais en me fiant à Jasper, Edward le vivait plutôt mal. J'ai l'ai tout de suite aimée celle-là. Caractère fort, timide en même temps, jolie sans s'en rendre compte...une fille des plus charmantes. Nous avons eu de nombreux problèmes durant les années qui ont suivie l'arrivée de Bella à Forks. James voulant tuer Bella. Cependant, ce n'était pas si pire comparé à maintenant. Pourquoi je dis ça ? Eh bien, nous sommes partis de Forks à cause d'une simple bêtise. Edward a commencé à paniquer. Il disait qu'il finirait par la tuer et que ce serait sa faute. Vous voyez le genre...mélodramatique. Tout à fait son genre. Cependant, ce que je n'avais pas prévu, c'est que nous quitterions la ville. Sincèrement ça me faisait mal de penser que nous laiserions la pauvre Bella seule à Forks. Elle n'allait pas s'en remettre. Comme je l'avais prévu, elle ne s'en remettait pas. Malgré le fait que nous l'avions quittée, je la suivais en me concentrant sur elle. Par vision. Les visions que j'avais d'elle me boulversaient toujours de plus en plus. Je voyais très bien à quel point elle souffrait. Elle n'en dormait presque plus la nuit. Sincèrement je me détestais de voir à quel point elle souffrait à cause de nous. Je la voyais tous les jours en vision et je contactais Edward plusieurs fois par semaine pour le lui dire. Elle finirait par faire une bêtise et il le regretterait. Je crois que ce qui l'a le plus motivé, c'est ma dernière vision. Je l'ai vu sauter d'une falaise. Ce fut la goutte de trop. Nous sommes tous retournés à Forks pour finalement la trouver vivante...en parfaite santé...et voulantoublier mon frère avec Jacob. Je ne sais plus quoi penser face à ça. Nous venons à peine d'arriver après tout. J'espère que les choses vont évoluer dans le bon sens...le sens de mon frère. Je lui suis solidaire, je vois qu'il souffre...tellement. Mais Bella aussi maintenant qu'il est de retour. Pourquoi les choses sont toujours aussi complexes ? - YOU BROKE MY LEG .
« Je suis une personne assez expressive sur certains points. Quand je suis heureuse, les gens le voient et quand je ne le suis pas, les gens peuvent le voir aussi. Du moins, si je veux que les gens le voient. Il y a des moments où j'aime mieux garder tous ça pour moi pour ne pas faire de peine aux autres. Mon expressivité vient aussi avec une certaine dose d'impatience bien dosée. Bon, on peut bien me le pardonner je suis tellement adorable. Mais bon, au moins j'assume ce fait. Par exemple, Ed' a la fâcheuse tendance à entendre ce qui se passe dans la tête des gens et il y a des moments où il fait exprès de ne pas me dire ce qu'il a entendu pour me faire rager...et ça fonctionne très bien. Mais je finis toujours par gagner. J'ai un certain pouvoir de persuasion moi aussi et je sais l'utiliser. En fait, Jasper m'a donné quelques trucs pour me faire écouter. C'est qu'il était dans l'armée avant et il a appris les ficelles de l'autorité. Je ne l'aurais jamais cru, il est doux comme un agneau. Mais bon, je n'ai qu'à imposer mon idée. C'est simple avouez, mais ça marche très bien. Bon, il est évident que je ne fais ça que très rarement, seulement quand c'est nécessaire. J'ai aussi tendance à vouloir faire les choses en grand. Par exemple, quand il y a des évènements à fêter, comme le quarantième anniversaire de mariage de papa et maman, j'ai décidé de faire une grande fête avec des amis de la famille et ce fut grandiose, sans vouloir me vanter.
J'ai un très grand sens de l'organisation et je dois avouer que ça m'a beaucoup aidé. Mais sinon, je n'empiète pas vraiment sur les bulles des autres personnes de ma famille. Nous nous respectons et nous respectons aussi l'espace vital des autres, ce qui est vraiment à ne pas négliger. Au temps que nous passons ensemble et que nous allons encore passer ensemble dans le futur, il est crucial de respecter ça. Sinon, je suis le genre de personne à être relativement relaxe et à prendre beaucoup de choses à la légère. Non en fait, à la légère n'est pas vraiment le bon mot. Je dirais plutôt, que je ne panique pas pour rien et attends de voir comment les évènements arrivent et je les prends comme ils sont. Bon, je dois avouer que mon don m'aide un peu à ne paniquer quand certains évènements arrivent, puisque j'en vois la plupart d'avance. Ainsi, je peux aussi avertir ma famille de ce qui va se passer, en fait de ce qui risque de se passer puisque je ne peux jamais être certaine de ce que je vois puisque les gens changent de décision souvent et ça influence les évènements futurs. Grâce à mon don de prémonition, je suis toujours très confiante et je fais confiance à presque n'importe qui. En plus, avec le don d'Edward, nous pouvons savoir facilement les intentions des gens autour de nous. Bref, il en faut beaucoup pour me surprendre, ainsi que ma famille. »
- A PIECE OF YOUR HEAD .
• Je peux voir le futur, cependant, mes visions restent subjectives et peuvent changer aussitôt que quelqu'un prend une décision.
• Je mets un point d'honneur à m'habiller à la mode tout en gardant un certain petit quelque chose qui est plus vieux. Il y a des vêtements que je porte depuis très longtemps et qui sont toujours aussi beaux et qui sont revenus à la mode. C'est l'avantage de vivre longtemps, on peut garder nos vêtements pour les mettre beaucoup plus tard, toutes les modes reviennent
• Un jour, mes cheveux sont restés coincés dans une branche d'arbre. Là ça a été la goutte qui a fait déborder le vase. Aussitôt rentrée chez moi, je les ai coupés et le problème a été réglé. Mais bon, maintenant j'aime beaucoup mes cheveux et j'aime beaucoup les coiffer de façon à ce qu'ils fassent de petites pointes vers le bas
• La première chose que les gens remarquent à propos de moi, c'est que je suis minuscule. Bon, minuscule est un mot peut-être légèrement exagéré, mais on s'accorde sur un point, je suis petite. Je ne mesure que 1m 47. Cependant, je suis fière de ma grandeur et je l'assume complètement. Ça m'aide même quand Emmet décide de se battre avec moi. Il est peut-être très fort, mais moi je suis petite donc je cours plus vite que lui et je réussis à le battre de temps en temps, je n'en suis pas peu fière.
• Jasper est mon âme soeur, ma moitié... nous formons les deux parties d'un tout et je suis la seule qui arrive à le calmer. Nous avons un lien bien particulier et ensemble nous sommes plus forts. Il serait capable de tout pour me sauver et vice versa. Notre amour se voit tout naturellement, c'est un amour plus mentale contrairement à Emmett et Rosalie.
Dernière édition par Alice Cullen le Dim 17 Jan - 2:17, édité 19 fois
|
|
|
|
Alice Cullen
• Messages : 48
|
Sujet: Re: Do you want some Pixie Dust Jeu 14 Jan - 23:13 |
|
|
- AN ANONYMOUS ?
- PSEUDO/PRENOM : La chasseuse de KariBouuu - AGE : 17 ans - JOUEUR/JOUEUSE : Au féminin - PERSONNAGE : Le plus cool des prédef of course ! - COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HD ? Euh...j'ai des contacts qui disent que je suis une exception à la règle xD - CODE DU REGLEMENT :» Ok By Sulpi - UN AVIS : Je m'aime ! Je vous aime ! Je t'aime ! Je suis une hippie ! - EXEMPLE DE POSTE : - Spoiler:
Morne, ennuyante, vide, grise, incomplète. Tous ces qualificatifs pouvaient décrire ma vie, ma nouvelle vie loin de ma moitié. J’étais dans la brume…je ne savais même pas depuis combien de temps j’étais là. Au moins, je savais où j’étais…j’étais beaucoup trop loin de lui, de Jacob. Des milliers de kilomètres nous séparaient, 9694 kilomètres et des poussières nous séparaient. Il était à la Push, dans la ville de Forks, dans l’état de Washington, aux États-Unis et en Amérique du Nord. Moi, je suis à Bishop’s Castle, à Londres, en Angleterre, au Royaume-Unis, en Europe. Tout cela était beaucoup trop différent de ce que j’avais vécu. J’étais trop loin de lui. Je me sentais vide à l’intérieur, comment aurait-il pu en être autrement. Il avait toujours été près de moi et maintenant, il était loin de moi et il avait gardé mon cœur avec lui. Il avait été arraché bien avant que notre avion décolle. Il avait été arraché sans tenir compte de la douleur violente qui m’était sautée au visage lors de notre dernière étreinte…notre dernier regard qui m’avait déchirée jusqu’au fond de mon être. J’étais déchirée, brisée et vide.
Je ne compte plus les jours qui passent. Ça me déprime de voir combien de jours je passe sans lui. Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes arrivés ici et je ne veux pas le savoir. Je ne parle plus à personne depuis notre départ. Mes derniers mots ont été à mon loup. Pourquoi parler quand il n’y a rien d’intéressant à dire. Sans Jacob, la vie semble tellement fade. Ce qui m’intéressait, c’était lui et tout ce dont il me parlait. Maintenant que je n’entends plus sa voix…je ne veux même plus y penser. Je suis dans ma chambre presque toute la journée, je regarde par la fenêtre, je suis couchée dans mon lit ou j’hère dans les couloirs de notre nouvelle demeure. Je reste dans ma bulle, dans ma tête et je retourne tous les moments vécus à Forks…avec lui dans ma tête. Nos courses à la plage de la Push, nos histoires racontées à n’importe quelles occasions, sa main dans la mienne, la pluie qui nous entourait alors que nous étions dans un champ à discuter…tellement de choses s’étaient passées là-bas, dans MA ville. Comment pouvais-je passer par-dessus tout ça ?!? Ma vie avec Jacob était tellement belle, pleine, complète et heureuse…je ne pouvais pas faire comme si tout ça n’avait jamais existé. Ce serait injuste et du gaspillage.
Tout avait été gâché, c’était terminé. Je n’avais plus le droit de retourner à Forks pour revoir le soleil qui éclairait ma vie. Sans lui, j’étais dans la pénombre, dans le brouillard. Justement, cette journée là j’étais dans la pénombre de ma chambre, couchée sur mon lit à regarder la pluie tomber à petite goutte. Je voyais le chemin que ces gouttes traçaient contre ma fenêtre sans vraiment réfléchir. Je passais le temps tout simplement. Ça ne me servirait à rien de passer le temps, je le savais très bien. Mais c’était la seule option que j’avais trouvé jusque là. J’étais intemporelle, immortelle…passer le temps ne me servirait à rien. J’allais passer les prochaines années dans cette chambre lilas sans vie. Je ne sentais pas qu’elle m’appartenait même si j’avais passé presque toutes mes journées à l’intérieur. Rien ne me rattachait à elle. Pas de photo, surtout pas des photos même. Je n’avais rien pour m’occuper. Je lisais des livres appartenant à Esmée. Cependant, vous devez vous demander pourquoi je reste là à me morfondre. Je peux appeler Jacob ou retourner avec ma famille.
J’ai bien essayé de l’appeler, une seule fois. Quand j’ai entendu sa voix au téléphone, j’ai en même temps reçu un coup de poignard en plein ventre et une claque au visage. J’avais eu le souffle coupé et j’ai tout de suite raccroché. J’étais incapable de dire quoi que ce soit. Il me manquait trop. Comment allais-je faire pour vivre ainsi. J’avais besoin de lui, mais il m’était interdit et impossible de le voir. J’étais dans une impasse et je n’en pouvais plus. J’avais besoin de lui et je ne pouvais rien y faire. Je ne pouvais pas prendre un médicament pour me guérir de cette blessure ou endormir la douleur. Rien ne peut guérir les cœurs brisés; en miettes. Rien ne peut guérir les cœurs arrachés et restés au loin. La seule manière de guérir un cœur comme le mien n’existe pas encore. Je suis vouée à rester avec un trou grand ouvert dans ma poitrine qui montre le vide en moi. Si seulement quelqu’un pouvait comprendre ce qui se passe dans ma tête présentement. Personne dans ma famille n’a eu à vivre ça. En plus, la plupart des membres de ma famille sont trop occupés. Alice et Jasper sont ensemble depuis qu’ils se sont trouvés, le grand amour, le vrai sans fin et sans obstacle. Rosalie et Emmet, Carlisle et Esmée, ma mère et mon père aussi. Bon, à ce que m’a dit Rosalie il y a quelque temps, je ne sais plus pour quelle raison, ma famille a quitté Forks quelques temps et laissé ma mère ici, mais ce n’était pas si pire, elle avait un ami pour la soutenir tout le temps, un ami parfait…Jacob. Moi, ici, je n’ai personne qui puisse me comprendre réellement. Ils ne vivent pas ce que je vis présentement. Ils ne veulent pas mal faire, mais ils ne peuvent pas m’aider.
Jasper et Alice doivent s’occuper de la nouvelle encore une fois. Cependant, Jasper est bien l’un des seuls qui semble réellement vouloir m’aider. Non pas que mes parents ne le veulent pas, mais ils ne semblent pas savoir quoi faire. Ma mère passe dans ma chambre le soir et me caresse les cheveux en me parlant. Je ne peux que pleurer comme les vampires le peuvent…sans larmes. Je pleure tout le temps quand elle vient. Je ne sais pas quoi faire…j’ai juste envie de fermer mes yeux et de ne plus les ouvrir. Jasper lui peut m’aider dans un sens, il calme ma douleur et je me sens beaucoup mieux quand il est près de moi. Je sais que ce n’est pas un bien être naturel, mais au moins je peux me sentir mieux quelques instants. Je peux penser à autres choses quelques instants, discuter avec lui quelques instants…il est une sorte de cachet anti douleur, une morphine sans effet secondaire. Je lui en suis vraiment reconnaissante pour les efforts qu’il fait pour me rendre la vie plus facile. Dieu seul sait ce que je deviendrais sans ces petits moments d’apaisements.
Ma mère était venue me chercher dans ma chambre ce matin-là pour me dire que j’allais avec eux à l’aéroport. Elle avait tout de suite vue le changement sur mon visage. Je croyais que nous retournions à Forks, sait-on jamais…l’espoir fait vivre à ce qu’on dit. Mais non, nous allions chercher Nahuel, un autre hybride qui est venu nous voir, nous aider plutôt, lorsque je suis née…pour convaincre les Volturi que je n’étais pas une menace. Je n’avais qu’un vague souvenir de lui, mais cela importait peu. Nous étions donc partis à l’aéroport pour aller accueillir l’hybride. Toute la famille s’était déplacée pour l’évènement. Il y avait Jalys Alice et Jasper, Esmée et Carlisle ainsi que moi et mes parents. Rosalie, Emmet et Briac étant en Alaska. Un avion est atterrit et une odeur sembla attirer l’attention de ma mère. Ne connaissant pas l’odeur du nouveau venu, je ne savais pas si c’était bien la sienne. Cependant, Jasper était d’accord. Je l’ai regardé quelques instants, lui souriant timidement. L’arrivée de Nahuel ne me faisait ni chaud ni froid, mais m’occupait au moins.
|
|
|
|
Edward M. Cullen
The damn admin lion aime martyriser les membres -
• Messages : 200
|
Sujet: Re: Do you want some Pixie Dust Ven 15 Jan - 10:31 |
|
|
|
|
|
|
Sulpicia E. Volturi
S ζ Smile to the devil ▬ Shut up or scream
• Messages : 279
|
|
|
|
Alice Cullen
• Messages : 48
|
|
|
|
Renata A. Volturi
• Messages : 14
|
Sujet: Re: Do you want some Pixie Dust Ven 15 Jan - 18:40 |
|
|
|
|
|
|
Alice Cullen
• Messages : 48
|
|
|
|
Isabella M. Swan
• Messages : 395
|
|
|
|
Alice Cullen
• Messages : 48
|
|
|
|
Edward M. Cullen
The damn admin lion aime martyriser les membres -
• Messages : 200
|
|
|
|
Elisabeth Masen
• Messages : 88
|
|
|
|
Alice Cullen
• Messages : 48
|
Sujet: Re: Do you want some Pixie Dust Dim 17 Jan - 22:06 |
|
|
Merci Ed' ! Ça me flatte !
YAHOU ELI JE VAIS TE DIRE BIENVENUE AUSSI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
|
|
|
|
Contenu sponsorisé
|
Sujet: Re: Do you want some Pixie Dust |
|
|
|
|
|
|
|
Do you want some Pixie Dust |
|
|
Page 1 sur 1 |
|
|
Permission de ce forum: |
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|
|
|
| |
|