BIENVENUE SUR HEARING DAMAGE, LE STAFF VOUS SOUHAITE UNE BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2010 LE FORUM A OUVERT SES PORTES LE 16 JANVIER 2010 NOUS AVONS BESOIN D'HUMAINS |
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Elisabeth Masen
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Sujet: What else ? Ven 15 Jan - 20:02 |
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MASEN ELISABETH
- AGE : 87 ans - ORGINE : Américaine - GROUPE : Blood Suckers - AVATAR : Emma Watson |
- A PIECE OF YOUR LIFE .
« 14 février 1935, orphelinat de Chicago. « Cher journal,Pourquoi ont-ils la fâcheuse tendance de nous oublier, oublier de mettre du bois dans le poil ? Je suis emmitouflée dans le seul habile chaud qui me sert de manteau, mes chaussettes trouées ne tiendront pas et Marie qui se trouve juste à côté de moi claque des dents, vais-je devoir rester ici encore longtemps ? Je ne demande pas grand-chose, une famille, un papa et une maman rien de plus. J’ai perdu ma famille à ma naissance, je ne connais pas ma mère. Elle était trop faible pour survivre à l’accouchement et mon père ? Il paraît qu’il est mort de la grippe espagnole, lui qui avait affronté quelques années plus tôt l’insoutenable vie des tranchées. Je suis née un 14 février 1919 à Chicago, dans une chambre de bonne. Ma mère déprimait depuis la mort de mon père, ne se nourrissant plus, perdant goût à la vie et c’est sa voisine, Juliette qui me déposa à l’orphelinat me laissant comme seul souvenir une lettre que ma mère lui a dicté avant de mourir. Elle y explique combien elle aimait mon père, combien elle regrette de ne pas pouvoir me voir grandir, qu’elle aurait aimé être là à toutes les étapes de ma vie… Elle m’explique le choix de mon prénom, Elisabeth… Sa grand-mère, je ne l’ai jamais connu, mais elle a toujours considéré ce prénom comme une force de la nature, celles qui la porteront seront des femmes de caractère. Il m’arrive le soir de la relire, encore et toujours… De sentir ses larmes perler le long de mes joues, en silence dans le dortoir du troisième étage. J’ai fait plusieurs orphelinats, mais celui là atteint la première place du podium… Nous travaillons comme des forcenées, comme si nous n’étions que des bêtes bonnes à servir ses dames de la noblesse. Je les déteste, toutes… Avec Marie, on a décidé de s’enfuir on ne sait pas quand, mais nous y arriverons… Aujourd’hui, je fête mes 16 ans, j’imaginais ma vie autrement, encore je n’ai pas à me plaindre, je sais lire… Je n’écris pas très bien, mais j’ai la chance de pouvoir discrètement prendre les livres de la bibliothèque et les lire. La dernière fois Mme Bin m’a surprise en train de le lire, je suis restée trois jours dans la tour… Je vous laisse imaginer la suite. En ce jour d’anniversaire, Marie m’a apporté un gâteau elle était de corvée dans les cuisines, c’est si gentil. Joyeuse anniversaire petite Elisabeth, demain sera peut-être meilleur… Mince, le tyran arrive… Cachons nous… » 19 août 1935, jardin d’une somptueuse demeure. « Cher Journal,Je n’ai pas vraiment eu le temps de t’écrire ses derniers temps, un grand changement s’est produit dans ma vie, j’ai enfin trouvé une famille… Une personne a bien voulu me prendre, moi à 16 ans comme enfant, un miracle ? Je n’en sais rien… Ce jour sera surement gravé dans ma mémoire pour le reste de ma vie, cet homme à l’allure extraordinaire, au physique époustouflant, au regard déstabilisant à poser son regard sur moi. Les surveillantes étaient vertes de jalousie, elle voulait que cet homme les regardent, mais il n’en avait rien à faire, il ne me lâchait pas des yeux. Marie qui se trouvait à côté de moi me tenait la main, elle avait peur je le sentais bien. J’ai toujours su quand elle allait bien ou non, c’était étrange… Je n’avais pas besoin de mots pour comprendre ce qu’elle ressentait, surement le fait qu’on se connaissait depuis toutes petites. En tout cas, je n’avais pas peur, j’étais comme fascinée par cet homme, il signa rapidement les papiers et je du dire adieux à ma seule amie, Marie. Ce fut si difficile, j’étais comme partagée par la joie de quitter enfin cet orphelinat et triste que Marie reste ainsi, seule dans ce lieu si désastreux. Je ressentais si fortement sa peine, qu’il me fallu un long moment pour effacer mon chagrin. Mais cette nouvelle vie en valait la peine, en tout cas au début. La maison est immense, j’ai une chambre pour moi toute seule, il y a des domestiques qui agissent bizarrement à l’égard d’Henry. Comme si, il allait les manger à la moindre erreur. Certes, il n’est pas comme les autres, son regard tout d’abord… Je n’arrivais pas à le percer complètement légèrement rubis, j’adorais cette couleur, il ne m’effrayait pas. Et puis sa peau, si blanche qu’on aurait pu la confondre à du marbre, il avait une classe qui ne s’explique pas, une assurance dans sa voix, il me fascinait et pourtant je voyais bien qu’il me cachait quelques choses. Je ne comprenais pas son geste, m’adopter moi alors qu’il n’avait pas de femme, que j’étais déjà vieille pour une enfant. J’imaginais alors qu’il souhaitait faire de moi sa femme, il ne devait pas être bien plus vieux que moi. Cette idée n’était pas déplaisante même si je ne ressentais aucun amour fusionnel pour lui, il était pour moi comme un grand frère… Tout du moins au début... Ca fait maintenant un mois que je vis ici, j’ai de nouvelles robes, des livres tout un tas de livres… Et je sais ce qu’il est… Je l’ai suivis un soir ne supportant plus ses mensonges concernant ses allés et venues dans le domaine. Il disparaissait sans cesse au bout d’un moment qu’il était trop longtemps en ma présence, j’étais trop curieuse, je devais savoir… Et je l’ai vu, tuer cet homme de ses propres mains, enfin techniquement c’était ses dents. Il venait de le tuer et je compris ce qu’il était. J’eus très peur et je m’enfuis quand il remarqua ma présence lorsqu’il tuait cet homme. Il me rattrapa si rapidement, je pensais que mes heures étaient finies. Puis, il me raconta… Son histoire, sa transformation, sa vie de solitaire, son besoin de boire le sang humain, son désir d’être père. Il ne me voulait aucun mal, il voulait attendre mes 20 ans, pour me transformer à mon tour afin que je devienne sa fille pour l’éternité. J’ai encore peur… Quand je prends conscience de ce qu’il fait, mais sa vie m’est tellement agréable à entendre et je me sens incapable de le quitter désormais, étrange comme sensation. Je n’ai jamais eu autant de chance dans ma vie, nous vivons dans une très grande demeure, je suis ici à remplir mon journal intime dehors ayant comme point de vue ce magnifique jardin, je n’ai rien à redire, ma vie est parfaite… » 14 juin 1969, Londres. « Cher journal,Le soleil est encore haut dans le ciel et je reste bloqué là, dans cette chambre d’un grand hôtel Londonien. Je ne peux pas sortir dehors, il fait beau le printemps touche à sa fin laissant l’été prendre place. Henry est dans la chambre d’à côté, mais je sais exactement ce qu’il est en train de faire, il tue cette pauvre femme qui n’a rien demandé. Oh avant, il s’occupe de son cas, caressant les courbes parfaites de son corps, chuchotant de douces paroles à son oreille, lui promettant monts et merveilles. Mais une fois qu’elle sera sous le charme, il se laissera bercé par le bruit du sang dans ses veines, le goût de ce dernier chatouillera ses papilles, le venin lui montera à la bouche avant qu’il ne plante ses crocs dans son cou et en finir avec sa vie. Je le sais, il agit toujours comme ça… J’ai beaucoup de mal, avec ses humains autour de moi, je reste pour le moment enfermé dans ma chambre, luttant contre le désir de vider de son sang le garçon d’étage. Depuis mes 20 ans, je reste la même personne, en tout cas physiquement… Le temps ne passe pas sur moi, je reste la même… Une jeune femme de 20 ans, désirable sur tous les points, un visage d’ange, des yeux profonds. Mes courbes avantageuses, donne un côté séducteur à ma personne, mais à quoi bon ?! Tuer des gens ?! Le jour de mes 20 ans, Henry me transforma, il planta ses dents dans mon cou, laissant cette douleur m’apparaître. Je n’avais jamais vécu une telle douleur, je souffrais et je ne pouvais plus rien faire, j’avais l’impression que ma tête allait exploser, la brulure se faisait de plus en plus intense je me demandais s’il n’était pas temps, de retrouver mes parents, ma famille. Que la vie était ainsi que je ne devais pas dépasser mes 20 ans. Puis la douleur diminua à mesure que le temps passait, je ne savais où j’étais si j’étais seule… Puis, mon cœur s’arrêta de battre et ma nouvelle vie commençait alors. J’ouvrais les yeux et il était là… Il m’attendait, la joie m’envahissant d’un seul coup, j’étais comme lui un vampire. Mais malheureusement, Agnès notre domestique passa près de la porte, il hurla qu’elle devait partir qu’il était trop tôt, mais je ne pus faire autrement. Je me levais de mon lit et me jetais sur elle, la vidant de son sang. Je ne me maîtrisais pas et je ne comprenais pas encore comment il faisait, pour vivre en compagnie d’humain. Très rapidement il m’apprit tout ce que je devais savoir et nous prîmes l’habitude de chasser ensemble. Nous voyageâmes à travers le monde, je découvrais le monde et ses cultures, ses paysages, ses guerres. Aujourd’hui, nous sommes à Londres et j’essaye de ne pas me focaliser sur l’émotion des gens. Difficile quand vous êtes en train de tuer une personne de passer outre sa souffrance… Henry frappe à ma porte, il a fini… Je te laisse… » 18 mars 2006, Seattle. « Cher Journal,Ils l’ont tué, sous mes yeux… Il est mort, Henry est mort alors que nous partions pour l’Alaska. Je n’ai rien pu faire, je n’ai senti que cette haine de la part de ses monstres. Ils étaient si fort et si dangereux, que je ne sais pas encore comment j’ai fait pour rester en vie. Je n’avais jamais vu autant de haine en même temps, je la ressentais si fortement. Je sais plus quoi faire il ne me reste plus grand-chose, je possède mon sac contenant quelques objets. J’ai très peu d’argent et sommes tout aucune destination particulière. Mon journal intime, à quoi bon le continuer désormais… Quel avenir sans Henry ? Je ne me rendais pas compte combien il m’était important, j’ai tout perdu en si peu de temps et il m’est si difficile de continuer. Me nourrir des hommes ? Des gens qui ont des familles, des enfants, des amis… Je n’ai rien de tout ça, pire j’ôte leurs vies pour me nourrir. Je quitte Forks, me dirigeant dans la forêt à la recherche d’explication, vers un avenir en tout cas. Je ne sais pas comment je vais faire, j’attends que ma soif soit insoutenable pour me nourrir et là encore, je ressens encore plus fortement la peur et la tristesse de ses gens… Henry… Revient à moi, je t’en supplie… Je suis complètement perdue, je ne connais pas vraiment les gens comme moi… Durant tout ce temps, Henry évitait la présence d’autre Vampire, on ne s’est jamais lié d’amitié avec les autres vampires et j’ai peur, peur de me retrouver seule, de continuer une vie que je ne désire plus. Je devrais faire un effort, essayé en tout cas. Je me contrôle beaucoup mieux, le sang m’est moins insoutenable, pourtant je ne peux pas éviter ce que je suis… Ce que je ressens… Il faut se rendre à l’évidence, j’ai besoin d’aide… Aidez-moi, par pitié… » Elisabeth Masen »
- YOU BROKE MY LEG .
« Petite, j'étais une enfant curieuse et farceuse, légèrement peste sur les bords. N'ayant pas grandi dans ce qu'on appelle un endroit chaleureux, j'ai appris à me défendre et à profiter de la faiblesse des autres pour survivre dans l'orphelinat. J'aimais rendre folle les femmes qui nous surveillaient, elles me détestaient, mais je m'en moquais. J'étais bien trop insouciante pour ça, puis en grandissant j'ai bien changé. L'orphelinat m'a rendu plus forte, malgré moi... façonnant ce caractère si particulier, je ne suis pas méchante, je ne le serai jamais je le pense... C'est juste que je ne me laisse pas avoir, j'essaye de me protéger comme je peux. Puis, avec ma transformation, les choses ont évolué... Je ne suis en rien comme Henry, tout du moins comme il était... Je ne suis pas sanguinaire, ma nature ne m'a pas rendu méchante à ce point, je me fais gentille et douce, aimante par moment. Je reste discrète dans l'ensemble, peu de gens arrivent à me comprendre et me connaître. Il m'est très rare de me dévoiler aux autres, comme si je voulais garder en moi ce que j'étais. Je mets soigneusement en place une barrière autour de moi qui empêche les gens de me connaître. Mon don ne m'aide en rien, croyez-moi... Quand vous ressentez les émotions des gens, vous évitez de rester près d'eux, c'est insupportable, il y a tant de choses à gérer que je préfère m'isoler des gens. Je reste souvent seule dans mon coin, trop torturée pour arriver à faire quelques choses. Néanmoins, il ne faut pas se fier aux apparences, je ne suis pas une personne qui se laisse faire loin de là, faites attention à vous je pourrais bien vous surprendre d'une manière ou d'une autre. »
Dernière édition par Elisabeth Masen le Dim 17 Jan - 2:31, édité 5 fois
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Elisabeth Masen
• Messages : 88
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Sujet: Re: What else ? Ven 15 Jan - 20:03 |
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- A PIECE OF YOUR HEAD .
• Elisabeth, grâce ou à cause de son lien tout dépend le point de vue, ressent l’émotion des gens. Quand ceux-ci sont heureux, joyeux, tristes, malheureux, amoureux, désireux, en colère, apeurés, Elisabeth le ressent également et est souvent dans le même état qu’eux. Il devient alors difficile de tuer les gens, elle ressent leurs peurs, la vie ainsi que la souffrance quand elle met fin à leurs vies. Elle le supporte de moins en moins, s’isolant alors des autres afin de ne plus ressentir toutes ses émotions.
• Elisabeth adore faire du shopping. Ayant toute sa jeunesse fut privé du plaisir de porter de belles robes et beaux vêtements, elle aime faire les magasins dénicher des vieux vêtements de l’époque qu’elle aime temps, les années 30. Elle trouvait très belle toutes ses femmes qu’elle admirait par la fenêtre de son orphelinat.
• Elisabeth se fait très rarement appelée comme tel, elle préfère le surnom de Lizzie très simple à retenir. Néanmoins, très peu de gens la nomme ainsi, il faut bien la connaître pour que ce soit ainsi et qu’elle fasse confiance aux gens.
• Elisabeth est une vraie sauvageonne. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds malgré sa petite taille et son physique d’ange. Malgré tout, quand on la connaît bien elle a une très grande culture et un humour bien particulier. On pourrait dire qu’elle surprend… Tout simplement.
• Elisabeth n’est jamais tombée amoureuse, n’a jamais ressenti ce sentiment particulier en compagnie d’un homme ou même d’une femme. Elle connaissait qu’Henry et c’était très clair entre eux, il était comme un père, un mentor rien de plus. Elle ne sait pas ce que s’est et ça depuis 87 ans d’existence.
• Elisabeth a revu Marie une seule fois, mais elle n’était plus humaine et pour éviter de la tuer, elle l’observa de loin. Elle fut submergée par la tristesse en voyant ce qu’elle était devenue, elle travaillait pour une famille riche de Chicago, avait 5 enfants et son mari la battait. Elle fut d’autant plus triste quand elle apprit qu’elle était morte, seulement âgée de 35 ans, c’est pour cette raison qu’elle ne s’attache plus aux gens, les perdre est d’autant plus insupportable.
- AN ANONYMOUS ?
- PSEUDO/PRENOM : Chou' - AGE : Pfff 22 ans... Bientôt 23 ans :s - JOUEUR/JOUEUSE : Joueuse *Regarde sous son pull* JOUEUSE - PERSONNAGE : Prédef' - COMMENT AVEZ-VOUS CONNU HD ? Alors... Hum... Je connais Isabella, c'est elle qui m'a tout dit... Mais je connais plus de gens... On vient tous de TBS, ou quoi ? - CODE DU REGLEMENT : Ok by Bella - UN AVIS : Très beau, je dirais même classe... J'adore tout simplement... Et puis, j'aime déjà les gens qui sont présents... - EXEMPLE DE POSTE : - Spoiler:
Pv. Bella Cullen && Jacob Black Il recommençait, fermant sa vision des choses et je le détestais d’autant plus pour ça. Il ne pouvait pas un instant, mettre de côté le fait qu’il soit un loup, l’alpha qui plus est, il ne pouvait pas un ainsi, oublier que nous étions des vampires et agir seulement avec ses sentiments. Je n’adhérais pas forcement aux agissements d’Alice lorsqu’elle a mordu cette adolescente alors qu’elle gisait sur le sol, mais je savais qu’elle n’avait pas d’autres choix, qu’elle devait le faire sinon elle ne pourrait plus se regarder devant un miroir. Il ne pouvait pas prendre cela en compte, il fallait forcement qu’il ferme son esprit. Certes, j’avais eu tort, de mettre inconsciemment Nessie de côté, m’occuper moins d’elle, faire en sorte qu’elle se sent délaisser, je ne m’étais pas rendu compte de ma bêtise, mais il n’avait pas raison dans cette affaire, il ne pouvait pas nous faire ça. Je pensais, qu’outre le fait qu’il soit mon meilleur ami, je pensais qu’il se sentait chez nous comme dans une famille, que les liens que j’espérais fort entre nous, finalement n’existait pas. Il ne nous considérait pas comme sa famille, seul Nessie comptait et j’en étais jalouse… De ma propre fille ? Un comble… Je ne l’enviais pas, j’espérais juste que les choses étaient différentes.
Il m’était donc impossible de vivre dans le monde que je m’étais imaginé. Un monde, où je pouvais observer ma fille s’épanouir auprès de l’homme qu’elle aimait, auprès de mon meilleur ami, la personne qui avait toujours été la pour moi dans les moments les plus durs de mon existence, était-il impossible de vivre cette vie là ? Apparemment oui et même si Jacob reprochait aux membres de ma famille d’avoir tout gâché, je ne pouvais pas éternellement les haïr, car finalement je ne sais pas comment j’aurai réagis à leur place. Edward aurai été ma conscience, il m’aurait demandé de ne pas le faire, mais qu’en était-il réellement ? Certaines circonstances font qu’on agit différemment et pas forcement de la meilleure manière qu’il soit, il devait pourtant le savoir, non… Monsieur campait sur ses positions, j’avais envie de l’égorger en disant ça, j’avais une telle envie de le réduire en pâté pour chien que je sentais mes muscles se tétaniser à cette idée. J’essayais de me calmer, je ne voulais pas me battre avec lui, je ne devais pas faire ça pour la bonne et unique raison c’est qu’au fond, quelque part au fond de moi, j’aimais mon meilleur ami et je ne voulais pas plus blessé Nessie et pourtant…
_ Tu devrais te renseigner un instant avant de parler Jacob Black ! Je n’ai jamais menti à ma fille, jamais. Nous voulions la protéger de la meilleure façon qu’il soit et lui cacher certaines choses en faisaient partie. Je me rends compte à quel point c’était une erreur, mais elle n’a que trois ans ! C’est une enfant, mon enfant…
Ma colère laissait place à de la tristesse, je repensais à cette dispute et son issu, au sentiment que j’éprouvais désormais. J’avais énormément déçu ma fille, je ne savais plus comment agir pour la rendre heureuse de nouveau, si cela pouvait être possible. Je sentais un point dans ma gorge, j’aurai tellement aimé pleurer à cet instant, laisser mes larmes parcourir mes joues doucement, laisser cette tristesse m’envahir et nettoyer ce que j’étais aux yeux de ma fille. Mais, ma tristesse disparue si rapidement… Il fallait une phrase, une seule venant de Jacob… Elle l’était, Nessie était bien mieux que nous tous, mais qui il était pour juger de ça. Il n’avait pas le droit de nous juger comme ça, étais-je en train de juger les membres de sa meute, non ? Le souvenir de ce que je ressentais il y a peu de temps remontait à la surface, cette colère reprenait le dessus. Je devais me contrôler, j’en étais capable, mais je ne voulais plus, je ne pensais qu’à une chose, botter les fesses de ce sale cabot ! Nessie n’était plus là pour m’empêcher de faire quoique ce soit, Edward non plus ainsi que son calme olympien. Nous étions tous les deux seuls dans cette forêt et je ne me contrôlais plus.
Un grognement sortit du fond de ma gorge et je sentais cette envie de l’attaquer, comme l’une de mes proies, j’étais prête à le faire à n’importe quel moment. La pluie se faisait de plus en plus forte… Mouillant par la même occasion mes longs cheveux. Je sentais le venin dans ma bouche, son odeur et sa présence m’était d’autant plus insupportable, j’avançais rapidement et serrant le poing je le frappais en pleine figure, la haine dans le regard, je l’interdisais de dire ça, de remettre en cause ce que nous étions. Edward et moi n’étions pas les meilleurs parents au monde, je ne connaissais rien à tout cela, mais il n’avait pas le droit de remettre en cause ce que nous étions. Il était mal placé pour agir de la sorte, je ne pouvais plus supporter tout cela, c’était plus fort que moi. Je pointais mon doigt dans sa direction, menaçante, énervée, hors de moi. S’il n’était pas mon meilleur ami, je ne sais pas de quoi je serais capable.
_ Toi non plus ! Elle est bien plus meilleure que toi imbécile ! Te rends-tu compte que tu aurais pu changer la donne, te rends tu comptes de la chance que tu avais, tu faisais partie de la famille et tu… As préféré agir en tant que loup !!!!
Je le frappais fortement de mes deux mains sur sa poitrine, afin de le faire réagir… Je voulais qu’il réagisse, je voulais un souffre douleur, je ne supportais plus la mienne, cette douleur coincée au niveau de mon cœur meurtri. Je le tapais ainsi sachant pertinemment qu’il ne souffrait pas, en tout cas pas de cette douleur, mes coups de poing sur son torse se voulait plus violent, mais jusqu’où ? Je ne le savais guère… Je continuais, hurlant inlassablement…
_ Je te déteste ! Je te déteste !!!!!!!
Dernière édition par Elisabeth Masen le Sam 16 Jan - 17:44, édité 2 fois
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Isabella M. Swan
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Sujet: Re: What else ? Ven 15 Jan - 20:37 |
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Bienvenue parmi nous !!!!!!!!!! Je suis contente de te voir parmi nous Bon courage pour ta fiche =)
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Sulpicia E. Volturi
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Elisabeth Masen
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Sujet: Re: What else ? Ven 15 Jan - 22:02 |
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MERCIIII BELLA... Ca me fait bizarre d'être quelqu'un d'autre qu'Isabella Cullen, mais je vais déchirer en vampirette !!!
Et pour te répondre Sulpicia, je suis... Hum... ISABELLA CULLEN !!! xD
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Sulpicia E. Volturi
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Renata A. Volturi
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Elisabeth Masen
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Elisabeth Masen
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Edward M. Cullen
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Elisabeth Masen
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Alice Cullen
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Sujet: Re: What else ? |
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